Titre : |
Parler : récit |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Sandrine ROUSSEAU (1972-), Auteur |
Editeur : |
Paris : Flammarion |
Année de publication : |
DL 2017 |
Importance : |
247 p. |
Présentation : |
couv. ill. coul. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-08-141664-2 |
Prix : |
19€ |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Viol -- France -- Récits personnels Violence envers les femmes -- France -- 1990-.... Récits personnels
|
Index. décimale : |
840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. |
Résumé : |
Affirmant avoir été agressée sexuellement, en novembre 2011, par un haut cadre de son parti, le député de Paris Denis Baupin (lequel conteste les faits), Sandrine Rousseau a décidé de raconter pourquoi elle a mis cinq ans à vaincre ses peurs pour finalement parler, dans la presse, en compagnie de trois autres victimes, avant de déposer plainte en juin 2016. Considérant qu'il est urgent d'aider toutes les femmes victimes de violence à briser la loi du silence, elle s'insurge notamment contre le délai de prescription (3 ans, porté à 6 ans en février 2017) qui a contraint le parquet, malgré « certains faits susceptibles d être qualifiés pénalement », à classer ces plaintes « sans suite pour prescription ». Elle dénonce par ailleurs une statistique intolérable pour elle : en France, 10 % seulement des femmes victimes de violences sexuelles finissent par porter plainte. |
Parler : récit [texte imprimé] / Sandrine ROUSSEAU (1972-), Auteur . - Paris : Flammarion, DL 2017 . - 247 p. : couv. ill. coul. ; 21 cm. ISBN : 978-2-08-141664-2 : 19€ Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Viol -- France -- Récits personnels Violence envers les femmes -- France -- 1990-.... Récits personnels
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Index. décimale : |
840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. |
Résumé : |
Affirmant avoir été agressée sexuellement, en novembre 2011, par un haut cadre de son parti, le député de Paris Denis Baupin (lequel conteste les faits), Sandrine Rousseau a décidé de raconter pourquoi elle a mis cinq ans à vaincre ses peurs pour finalement parler, dans la presse, en compagnie de trois autres victimes, avant de déposer plainte en juin 2016. Considérant qu'il est urgent d'aider toutes les femmes victimes de violence à briser la loi du silence, elle s'insurge notamment contre le délai de prescription (3 ans, porté à 6 ans en février 2017) qui a contraint le parquet, malgré « certains faits susceptibles d être qualifiés pénalement », à classer ces plaintes « sans suite pour prescription ». Elle dénonce par ailleurs une statistique intolérable pour elle : en France, 10 % seulement des femmes victimes de violences sexuelles finissent par porter plainte. |
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