Titre : |
Je voulais juste que ça s'arrête |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jacqueline SAUVAGE, Auteur |
Editeur : |
Paris : Fayard |
Année de publication : |
DL 2017 |
Importance : |
241 p. |
Présentation : |
couv. ill. coul. |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-213-70150-9 |
Prix : |
20,20€ |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Violence envers les femmes -- France -- 1990-.... Récits personnels
|
Mots-clés : |
maltraitance |
Index. décimale : |
840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. |
Résumé : |
Quarante-sept ans de mariage. D'abord une histoire d'amour, comme il y en a tant d'autres. Mais très vite, les insultes, les coups, l'engrenage de la violence. L'homme à qui Jacqueline Sauvage a confié sa vie l'a transformée en enfer, régnant sur le foyer en véritable tyran.
Jacqueline qu'il blesse, qu'il torture au quotidien mais aussi leurs enfants qu'il humilie, qu'il frappe, qu'il terrorise. Tous partagent le même sentiment paralysant : la peur. Cette peur qui les empêche de partir, qui les empêche de le dénoncer.
Et puis il y a ce lundi 10 septembre 2012. Ce jour où, après une ultime agression, Jacqueline commet l'irréparable. Trois coups de fusil. Le bourreau est mort. Elle l'a tué.
Le 28 décembre 2016, François Hollande a gracié Jacqueline Sauvage. |
Je voulais juste que ça s'arrête [texte imprimé] / Jacqueline SAUVAGE, Auteur . - Paris : Fayard, DL 2017 . - 241 p. : couv. ill. coul. ; 22 cm. ISBN : 978-2-213-70150-9 : 20,20€ Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Violence envers les femmes -- France -- 1990-.... Récits personnels
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Mots-clés : |
maltraitance |
Index. décimale : |
840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. |
Résumé : |
Quarante-sept ans de mariage. D'abord une histoire d'amour, comme il y en a tant d'autres. Mais très vite, les insultes, les coups, l'engrenage de la violence. L'homme à qui Jacqueline Sauvage a confié sa vie l'a transformée en enfer, régnant sur le foyer en véritable tyran.
Jacqueline qu'il blesse, qu'il torture au quotidien mais aussi leurs enfants qu'il humilie, qu'il frappe, qu'il terrorise. Tous partagent le même sentiment paralysant : la peur. Cette peur qui les empêche de partir, qui les empêche de le dénoncer.
Et puis il y a ce lundi 10 septembre 2012. Ce jour où, après une ultime agression, Jacqueline commet l'irréparable. Trois coups de fusil. Le bourreau est mort. Elle l'a tué.
Le 28 décembre 2016, François Hollande a gracié Jacqueline Sauvage. |
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