Titre : |
La schizophrénie : Psychopathologie des schizoïdes et des schizophrènes |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Eugène MINKOWSKI (1885-1972), Auteur |
Editeur : |
Paris : Payot & Rivages |
Année de publication : |
2002, impr. 2015 |
Collection : |
Petite bibliothèque Payot num. 328 |
Importance : |
285 p. |
Présentation : |
couv. ill. coul. |
Format : |
17 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-228-89603-0 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Schizophrénie
|
Index. décimale : |
616.895.8 Schizophrénie. CR 616.89 |
Résumé : |
Eugène Minkowski (1885-1972) est l'un des plus grands spécialistes de psychopathologie que la France ait connus. Son oeuvre est structurée par une remarquable trilogie - La Schizophrénie (1927), Le Temps vécu (1933) et Traité de psychopathologie (1966) - dont voici réédité le premier volet. Il nous y donne une leçon de clarté et de précision, l'une des rares définitions sérieuses de la schizophrénie.
À partir de la philosophie bergsonienne de l'élan vital, il souligne que la base même du processus schizophrénique est une perte du contact vital avec la réalité. Ce que le schizophrène perd, ce n'est pas la possibilité d'un simple contact sensoriel avec l'ambiance, mais bien la dynamique de ces contacts, c'est-à-dire tout ce qui fait le caractère vivant de la relation du sujet à autrui. |
La schizophrénie : Psychopathologie des schizoïdes et des schizophrènes [texte imprimé] / Eugène MINKOWSKI (1885-1972), Auteur . - Paris : Payot & Rivages, 2002, impr. 2015 . - 285 p. : couv. ill. coul. ; 17 cm. - ( Petite bibliothèque Payot; 328) . ISBN : 978-2-228-89603-0 Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Schizophrénie
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Index. décimale : |
616.895.8 Schizophrénie. CR 616.89 |
Résumé : |
Eugène Minkowski (1885-1972) est l'un des plus grands spécialistes de psychopathologie que la France ait connus. Son oeuvre est structurée par une remarquable trilogie - La Schizophrénie (1927), Le Temps vécu (1933) et Traité de psychopathologie (1966) - dont voici réédité le premier volet. Il nous y donne une leçon de clarté et de précision, l'une des rares définitions sérieuses de la schizophrénie.
À partir de la philosophie bergsonienne de l'élan vital, il souligne que la base même du processus schizophrénique est une perte du contact vital avec la réalité. Ce que le schizophrène perd, ce n'est pas la possibilité d'un simple contact sensoriel avec l'ambiance, mais bien la dynamique de ces contacts, c'est-à-dire tout ce qui fait le caractère vivant de la relation du sujet à autrui. |
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