Titre : |
Le roman-photo de la grande guerre |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Serge LEYENS, Auteur |
Editeur : |
Bruxelles : Pierre de Meyere |
Année de publication : |
1976 |
Importance : |
133 p. |
Présentation : |
ill. en coul. |
Format : |
36 cm. |
Prix : |
0.00 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Guerre mondiale (1914-1918)
|
Mots-clés : |
GUERRE PHOTO POILU TRANCHEE 14-18 |
Index. décimale : |
940.3 La Première guerre mondiale (1914-1918). |
Résumé : |
"Plus les armes se perfectionnent plus le nombre de morts et de blessés diminue" écrivait le 4 août 1914 un journaliste du "Temps". Il avait raison ce cher homme. On tremble à l'idée de ce qu'aurait coûté à l'Humanité le non-emploi d'armes aussi expéditives que l'avion de bombardement, les gaz asphyxiants, la mitrailleuse, la bombe à fragmentations, le canon sans recul et, plus près de nous, la bombe A et autres merveilles.
Grâce à elles un temps précieux a été gagné. Sans elles toute guerre durerait cent ans et l'on mourrait d'ennui. C'est d'ailleurs ce qui arriva au temps de Jeanne d'Arc.
En 1914, on n'en était plus là. C'est la raison pour laquelle, tant à Paris qu'à Berlin, les futurs préposés aux monuments aux morts partirent le coeur léger et la fleur aux fusils. Ils savaient qu'ils n'en avaient pas pour longtemps et que la guerre serait fraîche et joyeuse. C'est ce que, dès le premier jour, on leur avait dit. On continua les semaines, les mois, et les années qui suivirent.(...)" - Extrait de l'introduction
|
Le roman-photo de la grande guerre [texte imprimé] / Serge LEYENS, Auteur . - Bruxelles : Pierre de Meyere, 1976 . - 133 p. : ill. en coul. ; 36 cm. 0.00 Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Guerre mondiale (1914-1918)
|
Mots-clés : |
GUERRE PHOTO POILU TRANCHEE 14-18 |
Index. décimale : |
940.3 La Première guerre mondiale (1914-1918). |
Résumé : |
"Plus les armes se perfectionnent plus le nombre de morts et de blessés diminue" écrivait le 4 août 1914 un journaliste du "Temps". Il avait raison ce cher homme. On tremble à l'idée de ce qu'aurait coûté à l'Humanité le non-emploi d'armes aussi expéditives que l'avion de bombardement, les gaz asphyxiants, la mitrailleuse, la bombe à fragmentations, le canon sans recul et, plus près de nous, la bombe A et autres merveilles.
Grâce à elles un temps précieux a été gagné. Sans elles toute guerre durerait cent ans et l'on mourrait d'ennui. C'est d'ailleurs ce qui arriva au temps de Jeanne d'Arc.
En 1914, on n'en était plus là. C'est la raison pour laquelle, tant à Paris qu'à Berlin, les futurs préposés aux monuments aux morts partirent le coeur léger et la fleur aux fusils. Ils savaient qu'ils n'en avaient pas pour longtemps et que la guerre serait fraîche et joyeuse. C'est ce que, dès le premier jour, on leur avait dit. On continua les semaines, les mois, et les années qui suivirent.(...)" - Extrait de l'introduction
|
|