Titre : |
Mal de mère |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Rodéric VALAMBOIS, Auteur |
Editeur : |
Toulon : Quadrants |
Année de publication : |
2015 |
Autre Editeur : |
Toulon : Soleil |
Importance : |
221 p. |
Présentation : |
ill. en noir, couv. ill. en noir |
Format : |
24 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-302-04503-3 |
Prix : |
19,55 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
BD Bande dessinée |
Résumé : |
J'en suis le témoin et je raconte comment une famille heureuse devra renoncer à tout ce qui la construisait, perdre pied, devenir peu-à-peu une famille de cas sociaux. Je rends compte de l'évolution de chacun des membres de notre famille, pas seulement de celui de ma mère. Mon père qui s'est rapproché de nous par nécessité. Moi qui me suis endurcis pour me protéger. Mon frère qui, plus tard, deviendra un homme assumant ses responsabilités. Ma soeur qui n'aura connu notre mère qu'en état de dépendance, contrairement à mon frère et moi-même. Ma mère qui, je ne sais pourquoi, a lâché prise, le cerveau bouffé et le corps bouffi. Et puis les autres : les tantes, grand-mères, amis, commerçants, médecins, psychiatres, policiers, ceux qui faisaient souvent mine de ne rien voir, nous tournant le dos, nous jugeant, et ceux qui, parfois, nous comprenaient et nous aidaient. |
Mal de mère [texte imprimé] / Rodéric VALAMBOIS, Auteur . - Toulon : Quadrants : Toulon : Soleil, 2015 . - 221 p. : ill. en noir, couv. ill. en noir ; 24 cm. ISBN : 978-2-302-04503-3 : 19,55 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
BD Bande dessinée |
Résumé : |
J'en suis le témoin et je raconte comment une famille heureuse devra renoncer à tout ce qui la construisait, perdre pied, devenir peu-à-peu une famille de cas sociaux. Je rends compte de l'évolution de chacun des membres de notre famille, pas seulement de celui de ma mère. Mon père qui s'est rapproché de nous par nécessité. Moi qui me suis endurcis pour me protéger. Mon frère qui, plus tard, deviendra un homme assumant ses responsabilités. Ma soeur qui n'aura connu notre mère qu'en état de dépendance, contrairement à mon frère et moi-même. Ma mère qui, je ne sais pourquoi, a lâché prise, le cerveau bouffé et le corps bouffi. Et puis les autres : les tantes, grand-mères, amis, commerçants, médecins, psychiatres, policiers, ceux qui faisaient souvent mine de ne rien voir, nous tournant le dos, nous jugeant, et ceux qui, parfois, nous comprenaient et nous aidaient. |
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