Titre : |
Confidences d'un maton : On ne serre pas la main en prison |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Francis LOPEZ, Auteur ; Frédéric ABECASSIS, Auteur de la postface, du colophon, etc. |
Editeur : |
Bruxelles : La Boîte à Pandore |
Année de publication : |
2014 |
Collection : |
Témoignage & document |
Importance : |
183 p. |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-87557-144-1 |
Prix : |
16,90 € |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Gardiens de prison -- France -- Conditions de travail -- 1990-.... Prison -- France -- Récits personnels
|
Index. décimale : |
840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. |
Résumé : |
Cette réflexion inaugure un livre différent de tout ce qu'on a pu lire sur l'univers concentrationnaire. Car en tant que surveillant de prison et formateur de surveillants, il sait de quoi il parle. Non, " on ne se serre pas la main en prison " entre détenus et gardiens, signe qu'on ne pactise pas. Car comment accepter de serrer la main de quelqu'un qui à un moment est sorti de l'humanité ? L'administration ne l'interdit pas, mais c'est l'usage. Dans son témoignage, exceptionnel, Francis Lopez révèle l'envers du décor et démontre à quel point se sentir persécuteur génère des formes d'angoisse et de culpabilité. Loin de l'image du surveillant véhiculé par les médias ou la télévision, il raconte ses contacts avec les détenus, la matraque télescopique, les viols en prison, les révoltes, les collègues et les personnels auxiliaires et les interrogations qui sont les siennes. |
Confidences d'un maton : On ne serre pas la main en prison [texte imprimé] / Francis LOPEZ, Auteur ; Frédéric ABECASSIS, Auteur de la postface, du colophon, etc. . - Bruxelles : La Boîte à Pandore, 2014 . - 183 p. ; 22 cm. - ( Témoignage & document) . ISBN : 978-2-87557-144-1 : 16,90 € Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Gardiens de prison -- France -- Conditions de travail -- 1990-.... Prison -- France -- Récits personnels
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Index. décimale : |
840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. |
Résumé : |
Cette réflexion inaugure un livre différent de tout ce qu'on a pu lire sur l'univers concentrationnaire. Car en tant que surveillant de prison et formateur de surveillants, il sait de quoi il parle. Non, " on ne se serre pas la main en prison " entre détenus et gardiens, signe qu'on ne pactise pas. Car comment accepter de serrer la main de quelqu'un qui à un moment est sorti de l'humanité ? L'administration ne l'interdit pas, mais c'est l'usage. Dans son témoignage, exceptionnel, Francis Lopez révèle l'envers du décor et démontre à quel point se sentir persécuteur génère des formes d'angoisse et de culpabilité. Loin de l'image du surveillant véhiculé par les médias ou la télévision, il raconte ses contacts avec les détenus, la matraque télescopique, les viols en prison, les révoltes, les collègues et les personnels auxiliaires et les interrogations qui sont les siennes. |
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