Titre : |
Ralentir pour mieux vivre dans ce monde qui s'emballe |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Laurence ROUX-FOUILLET, Auteur |
Editeur : |
Bruxelles [Belgique] : Ixelles éditions |
Année de publication : |
2014 |
Importance : |
268 p. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-87515-216-9 |
Prix : |
17,90 € |
Note générale : |
Bibliogr. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Lenteur (psychologie) Temps -- Aspect psychologique
|
Mots-clés : |
Slow attitude ralentir qualité de vie |
Index. décimale : |
316.62 Comportement social. CR 316.6 |
Résumé : |
Éloge de la slow attitude : moins vite égale mieux !
Aujourd’hui, on nous présente comme une évidence que tout va plus vite, tout accélère : déplacements, information, travail… Toujours plus et toujours plus vite ! sont les maîtres mots de nos actions, comportements et achats. Notre société semble souffrir d’une frénésie qui la pousse à la rapidité, au zapping, à l’accumulation. L’état de stress de nos semblables participe à ce sentiment puisque l’une des hormones du stress, le cortisol, lorsqu’elle est produite en excès par l’organisme, donne la sensation d’accélération.
On se dépêche notamment car on a peur de manquer de temps. Pourtant, la rapidité nous épuise, autant qu’elle use nos relations et notre environnement.
Depuis une vingtaine d’années, les mouvements autour du slow prônent le ralentissement dans les domaines du travail, de l’alimentation, des déplacements… – mais n’est-ce pas qu’une solution utopique pour bobos bien portants ? Certains écologistes revendiquent même la décroissance, comme une condition sine qua non à la survie de notre espèce – mais dans quelles conditions ? Avons-nous envie d’un retour en arrière régressif ? Si ralentir demande de gros efforts, n’est-ce pas plus épuisant que de maintenir notre mode de vie actuel ? Vous et moi, avons-nous la possibilité – et les finances – de ralentir dans une société en crise qui exige productivité, performance et optimisation des moyens ?
Chacun doit retrouver en lui son rythme propre qui donnera à sa vie plus de sens !
Oui, la notion de ralentissement peut se concevoir non seulement dans le temps (aller moins vite) mais aussi plus globalement dans l’attitude (freiner, en faire moins mais mieux, se débarrasser des fausses urgences pour ne plus se sentir débordé…). « Moins vite égale mieux ! » pourrait être le slogan de ces nouveaux croisés d’une certaine qualité de vie. Lenteur et positivité pourraient alors s’associer pour mieux vivre et mieux apprécier sa vie de tous les jours, dans une forme d’ascèse douce et bénéfique.
Pour vous permettre de trouver le bon rythme, ce livre :
• propose une réflexion autour des aspects théoriques de la slow attitude,
• amorce des prises de conscience et des changements pour moins de stress quotidien (y compris pour les enfants « surbookés »),
• oriente des choix tenables et permet de « gagner » du temps,
• propose des exercices de « ralentissement » qui empruntent à la sophrologie, à la PNL, au coaching, à la méditation et à l’art-thérapie. |
Ralentir pour mieux vivre dans ce monde qui s'emballe [texte imprimé] / Laurence ROUX-FOUILLET, Auteur . - Bruxelles [Belgique] : Ixelles éditions, 2014 . - 268 p. ; 21 cm. ISBN : 978-2-87515-216-9 : 17,90 € Bibliogr. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Lenteur (psychologie) Temps -- Aspect psychologique
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Mots-clés : |
Slow attitude ralentir qualité de vie |
Index. décimale : |
316.62 Comportement social. CR 316.6 |
Résumé : |
Éloge de la slow attitude : moins vite égale mieux !
Aujourd’hui, on nous présente comme une évidence que tout va plus vite, tout accélère : déplacements, information, travail… Toujours plus et toujours plus vite ! sont les maîtres mots de nos actions, comportements et achats. Notre société semble souffrir d’une frénésie qui la pousse à la rapidité, au zapping, à l’accumulation. L’état de stress de nos semblables participe à ce sentiment puisque l’une des hormones du stress, le cortisol, lorsqu’elle est produite en excès par l’organisme, donne la sensation d’accélération.
On se dépêche notamment car on a peur de manquer de temps. Pourtant, la rapidité nous épuise, autant qu’elle use nos relations et notre environnement.
Depuis une vingtaine d’années, les mouvements autour du slow prônent le ralentissement dans les domaines du travail, de l’alimentation, des déplacements… – mais n’est-ce pas qu’une solution utopique pour bobos bien portants ? Certains écologistes revendiquent même la décroissance, comme une condition sine qua non à la survie de notre espèce – mais dans quelles conditions ? Avons-nous envie d’un retour en arrière régressif ? Si ralentir demande de gros efforts, n’est-ce pas plus épuisant que de maintenir notre mode de vie actuel ? Vous et moi, avons-nous la possibilité – et les finances – de ralentir dans une société en crise qui exige productivité, performance et optimisation des moyens ?
Chacun doit retrouver en lui son rythme propre qui donnera à sa vie plus de sens !
Oui, la notion de ralentissement peut se concevoir non seulement dans le temps (aller moins vite) mais aussi plus globalement dans l’attitude (freiner, en faire moins mais mieux, se débarrasser des fausses urgences pour ne plus se sentir débordé…). « Moins vite égale mieux ! » pourrait être le slogan de ces nouveaux croisés d’une certaine qualité de vie. Lenteur et positivité pourraient alors s’associer pour mieux vivre et mieux apprécier sa vie de tous les jours, dans une forme d’ascèse douce et bénéfique.
Pour vous permettre de trouver le bon rythme, ce livre :
• propose une réflexion autour des aspects théoriques de la slow attitude,
• amorce des prises de conscience et des changements pour moins de stress quotidien (y compris pour les enfants « surbookés »),
• oriente des choix tenables et permet de « gagner » du temps,
• propose des exercices de « ralentissement » qui empruntent à la sophrologie, à la PNL, au coaching, à la méditation et à l’art-thérapie. |
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