Titre : |
La rue |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Ann PETRY (1908-1997), Auteur ; Martine MONOD, Traducteur ; Philippe SOUPAULT (1897-1990), Traducteur ; Nicole SOUPAULT (1920-1988), Traducteur |
Editeur : |
Paris [France] : Belfond |
Année de publication : |
2017 |
Collection : |
Vintage noir num. 26 |
Importance : |
376 p. |
Présentation : |
couv. ill. coul. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7144-7402-5 |
Note générale : |
Titre original : "The Street" |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Américain (ame) |
Index. décimale : |
820(73)-3 Roman américain traduit de la langue anglaise. (ou roman américain de langue anglaise avec CR 820(73)-3). |
Résumé : |
Des rues comme la 116e, réservées aux nègres ou aux mulâtres, avaient fait de Pop un vieil ivrogne timide et tué Mom quand Lutie était encore tout bébé.
Dans cet immeuble où elle habitait actuellement, c'était aussi la rue qui avait amené Mrs Hedges à faire de sa chambre un bordel.
Et le concierge, la rue l'avait maintenu dans les bas-fonds, loin de l'air et de la lumière, jusqu'à ce que l'horrible obsession de la chair l'ait dévoré. Mais rien de tout cela ne lui arriverait à elle, Lutie, parce qu'elle avait la volonté de lutter sans relâche. |
La rue [texte imprimé] / Ann PETRY (1908-1997), Auteur ; Martine MONOD, Traducteur ; Philippe SOUPAULT (1897-1990), Traducteur ; Nicole SOUPAULT (1920-1988), Traducteur . - Paris [France] : Belfond, 2017 . - 376 p. : couv. ill. coul. ; 21 cm. - ( Vintage noir; 26) . ISBN : 978-2-7144-7402-5 Titre original : "The Street" Langues : Français ( fre) Langues originales : Américain ( ame)
Index. décimale : |
820(73)-3 Roman américain traduit de la langue anglaise. (ou roman américain de langue anglaise avec CR 820(73)-3). |
Résumé : |
Des rues comme la 116e, réservées aux nègres ou aux mulâtres, avaient fait de Pop un vieil ivrogne timide et tué Mom quand Lutie était encore tout bébé.
Dans cet immeuble où elle habitait actuellement, c'était aussi la rue qui avait amené Mrs Hedges à faire de sa chambre un bordel.
Et le concierge, la rue l'avait maintenu dans les bas-fonds, loin de l'air et de la lumière, jusqu'à ce que l'horrible obsession de la chair l'ait dévoré. Mais rien de tout cela ne lui arriverait à elle, Lutie, parce qu'elle avait la volonté de lutter sans relâche. |
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