Titre : |
Journal de guerre |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Hans CAROSSA (1878-1956), Auteur ; Jacques LEGUEBE, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Grasset |
Année de publication : |
cop. 1938 |
Importance : |
148 p. |
Format : |
19 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-246-85149-3 |
Prix : |
8,85€ |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
tranchées première guerre mondiale |
Index. décimale : |
940.3 La Première guerre mondiale (1914-1918). |
Résumé : |
Ce Journal consigne, d'octobre à décembre 1916, l'expérience de l'auteur, alors médecin dans l'armée allemande, parti de la baie de Somme pour rejoindre le front roumain avec son régiment. Aux vies anonymes, aux chairs à canon, Carossa rend mystère et profondeur. Face à l'horreur, il sauve la beauté d'un geste, l'éclair d'un visage, la teinte d'un ciel. Multipliant les points de vue, il glisse du reportage à la prière, de la chronique au portrait, coupant son récit de songes arrachés à la nuit du front. Dans « ces heures angoissantes où la vie et la mort s'unissent étroitement », il capte l'instant où « chacun se met à parler sa propre parole ». Et ces paroles se gravent dans la pierre d'un livre, monument de dignité.
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Journal de guerre [texte imprimé] / Hans CAROSSA (1878-1956), Auteur ; Jacques LEGUEBE, Traducteur . - Paris : Grasset, cop. 1938 . - 148 p. ; 19 cm. ISBN : 978-2-246-85149-3 : 8,85€ Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
tranchées première guerre mondiale |
Index. décimale : |
940.3 La Première guerre mondiale (1914-1918). |
Résumé : |
Ce Journal consigne, d'octobre à décembre 1916, l'expérience de l'auteur, alors médecin dans l'armée allemande, parti de la baie de Somme pour rejoindre le front roumain avec son régiment. Aux vies anonymes, aux chairs à canon, Carossa rend mystère et profondeur. Face à l'horreur, il sauve la beauté d'un geste, l'éclair d'un visage, la teinte d'un ciel. Multipliant les points de vue, il glisse du reportage à la prière, de la chronique au portrait, coupant son récit de songes arrachés à la nuit du front. Dans « ces heures angoissantes où la vie et la mort s'unissent étroitement », il capte l'instant où « chacun se met à parler sa propre parole ». Et ces paroles se gravent dans la pierre d'un livre, monument de dignité.
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