Titre : |
Hamlet |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
William SHAKESPEARE (1564-1616), Auteur ; BONNEFOY, Yves (1923-2016), Traducteur |
Editeur : |
Paris : Gallimard |
Année de publication : |
DL 2015 |
Collection : |
Folio 2€ |
Sous-collection : |
Classique num. 6068 |
Importance : |
272 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-046850-8 |
Prix : |
2,00 € |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
classique théâtre |
Index. décimale : |
820-2 Pièce de théâtre traduite de la langue anglaise. |
Résumé : |
HAMLET Voici l’heure sinistre de la nuit, L’heure des tombes qui s’ouvrent, celle où l’enfer Souffle au-dehors sa peste sur le monde. Maintenant je pourrais boire le sang chaud Et faire ce travail funeste que le jour Frissonnerait de voir… Mais, paix ! D’abord ma mère. Oh, n’oublie pas, mon cœur, qui elle est. Que jamais Une âme de Néron ne hante ta vigueur ! Sois féroce mais non dénaturé. Mes mots seuls la poignarderont ; c’est en cela Que mon âme et ma voix seront hypocrites ; Mon âme ! aussi cinglantes soient mes paroles, Ne consens pas à les marquer du sceau des actes ! (Acte III, scène II). |
Hamlet [texte imprimé] / William SHAKESPEARE (1564-1616), Auteur ; BONNEFOY, Yves (1923-2016), Traducteur . - Paris : Gallimard, DL 2015 . - 272 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Folio 2€. Classique; 6068) . ISBN : 978-2-07-046850-8 : 2,00 € Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
classique théâtre |
Index. décimale : |
820-2 Pièce de théâtre traduite de la langue anglaise. |
Résumé : |
HAMLET Voici l’heure sinistre de la nuit, L’heure des tombes qui s’ouvrent, celle où l’enfer Souffle au-dehors sa peste sur le monde. Maintenant je pourrais boire le sang chaud Et faire ce travail funeste que le jour Frissonnerait de voir… Mais, paix ! D’abord ma mère. Oh, n’oublie pas, mon cœur, qui elle est. Que jamais Une âme de Néron ne hante ta vigueur ! Sois féroce mais non dénaturé. Mes mots seuls la poignarderont ; c’est en cela Que mon âme et ma voix seront hypocrites ; Mon âme ! aussi cinglantes soient mes paroles, Ne consens pas à les marquer du sceau des actes ! (Acte III, scène II). |
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