Titre : |
Sang pour sang : Le réveil des vampires |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean MARIGNY, Auteur |
Editeur : |
Paris : Gallimard |
Année de publication : |
2010 |
Collection : |
Découvertes . Culture et société num. 161 |
Importance : |
127 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-043876-1 |
Prix : |
14,60 € |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Vampires
|
Index. décimale : |
398.4 Le Monde surnaturel. |
Résumé : |
L'Antiquité eut ses divinités assoiffées, le Moyen Age ses pervers sanguinaires. Au XVe siècle, l'Eglise immortalisa les morts-vivants en les reconnaissant. Le vampire eut dès lors le droit de cité. Trois siècles plus tard, en pleine raison triomphante, la psychose est générale. Le vampire est connu, décrit : un " revenant en corps ", réfractaire à la croix, éventuellement à l'ail... Le théâtre de la terreur est posé. La littérature romantique va le consacrer, avec, dans le rôle du saigneur, Dracula, de Bram Stoker. Un siècle plus tard, le cinéma lui donne corps, dans tout l'achèvement de sa terrible splendeur. jean Marigny traque cette figure polymorphe dans les lieux mêmes où elle se réfugie : la nuit, la mort, le temps perdu. |
Sang pour sang : Le réveil des vampires [texte imprimé] / Jean MARIGNY, Auteur . - Paris : Gallimard, 2010 . - 127 p.. - ( Découvertes . Culture et société; 161) . ISBN : 978-2-07-043876-1 : 14,60 € Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Vampires
|
Index. décimale : |
398.4 Le Monde surnaturel. |
Résumé : |
L'Antiquité eut ses divinités assoiffées, le Moyen Age ses pervers sanguinaires. Au XVe siècle, l'Eglise immortalisa les morts-vivants en les reconnaissant. Le vampire eut dès lors le droit de cité. Trois siècles plus tard, en pleine raison triomphante, la psychose est générale. Le vampire est connu, décrit : un " revenant en corps ", réfractaire à la croix, éventuellement à l'ail... Le théâtre de la terreur est posé. La littérature romantique va le consacrer, avec, dans le rôle du saigneur, Dracula, de Bram Stoker. Un siècle plus tard, le cinéma lui donne corps, dans tout l'achèvement de sa terrible splendeur. jean Marigny traque cette figure polymorphe dans les lieux mêmes où elle se réfugie : la nuit, la mort, le temps perdu. |
|