Titre : |
Les frères Karamazov : Les carnets des frères Karamazov ; Niétotchka Niézvanov |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Fiodor Mikhaïlovitch DOSTOIEVSKI (1821-1881), Auteur ; Pierre PASCAL, Préfacier, etc. ; Henri MONGAULT, Traducteur ; Boris de SCHLOEZER, Traducteur ; Lucie DESORMONTS, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Gallimard |
Année de publication : |
impr. 1975 |
Collection : |
Bibliothèque de la Pléiade num. 91 |
Importance : |
1268 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
17cm |
Prix : |
10 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
882-3 Roman traduit de la langue russe. |
Résumé : |
L’odieux Féodor Karamazov est assassiné. De ses trois fils – Dimitri le débauché, Ivan le savant et l’ange Aliocha –, tous ont pu le tuer, tous ont au moins désiré sa mort.
Drame familial, drame de la conscience humaine, interrogations sur la raison d’être de l’homme, tableau de la misère, de l’orgueil, de l’innocence, de la Russie au lendemain des réformes de 1860, orgies, miracles, la richesse de ce roman de Dostoïevski, son dernier, et considéré comme son chef-d’œuvre, ne sera jamais épuisée. |
Les frères Karamazov : Les carnets des frères Karamazov ; Niétotchka Niézvanov [texte imprimé] / Fiodor Mikhaïlovitch DOSTOIEVSKI (1821-1881), Auteur ; Pierre PASCAL, Préfacier, etc. ; Henri MONGAULT, Traducteur ; Boris de SCHLOEZER, Traducteur ; Lucie DESORMONTS, Traducteur . - Paris : Gallimard, impr. 1975 . - 1268 p. : couv. ill. ; 17cm. - ( Bibliothèque de la Pléiade; 91) . 10 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
882-3 Roman traduit de la langue russe. |
Résumé : |
L’odieux Féodor Karamazov est assassiné. De ses trois fils – Dimitri le débauché, Ivan le savant et l’ange Aliocha –, tous ont pu le tuer, tous ont au moins désiré sa mort.
Drame familial, drame de la conscience humaine, interrogations sur la raison d’être de l’homme, tableau de la misère, de l’orgueil, de l’innocence, de la Russie au lendemain des réformes de 1860, orgies, miracles, la richesse de ce roman de Dostoïevski, son dernier, et considéré comme son chef-d’œuvre, ne sera jamais épuisée. |
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