Titre : |
37,2 le matin |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Philippe DJIAN (1949-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : J'ai Lu |
Année de publication : |
1994 |
Collection : |
J'ai Lu num. 1951 |
Importance : |
378 p. |
Présentation : |
couv.ill. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-277-21951-4 |
Prix : |
198.00 FB |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
"La vie, c'est pas un stand de foire avec tout un tas de lots bidons à décrocher et si t'es assez dingue pour te mettre à miser, tu t'aperçois vite que la route s'arrête jamais de tourner. Et c'est là que tu commences à souffrir. Se fixer des buts dans la vie, c'est s'entortiller dans des chaînes."
Oui, mais il y a Betty, belle comme le sont les filles qui portent des minijupes avec insouciance et qui espèrent toujours gagner le gros lot. Et lui, il aime Betty. Pour elle, il irait décrocher la lune. Et c'est là qu'ils commencent à souffrir. Car elle court après quelque chose qui n'existe pas. Et lui court derrière elle. Derrière un amour fou qu'il vit au jour le jour, jusqu'au jour où... |
37,2 le matin [texte imprimé] / Philippe DJIAN (1949-....), Auteur . - Paris : J'ai Lu, 1994 . - 378 p. : couv.ill. ; 18 cm. - ( J'ai Lu; 1951) . ISBN : 978-2-277-21951-4 : 198.00 FB Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
"La vie, c'est pas un stand de foire avec tout un tas de lots bidons à décrocher et si t'es assez dingue pour te mettre à miser, tu t'aperçois vite que la route s'arrête jamais de tourner. Et c'est là que tu commences à souffrir. Se fixer des buts dans la vie, c'est s'entortiller dans des chaînes."
Oui, mais il y a Betty, belle comme le sont les filles qui portent des minijupes avec insouciance et qui espèrent toujours gagner le gros lot. Et lui, il aime Betty. Pour elle, il irait décrocher la lune. Et c'est là qu'ils commencent à souffrir. Car elle court après quelque chose qui n'existe pas. Et lui court derrière elle. Derrière un amour fou qu'il vit au jour le jour, jusqu'au jour où... |
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