Titre de série : |
Harry Bosch, 7 |
Titre : |
L'oiseau des ténèbres : roman |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Michael CONNELLY (1956-....), Auteur ; Robert PÉPIN (1941-....), Traducteur |
Editeur : |
Paris : Seuil |
Année de publication : |
2001 |
Collection : |
Policiers Seuil |
Importance : |
405 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
23 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-02-044460-6 |
Prix : |
22.95 € |
Note générale : |
Trad. de : "A darkness more than night" |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Américain (ame) |
Mots-clés : |
POLICIER |
Index. décimale : |
820(73)-3 Roman américain traduit de la langue anglaise. (ou roman américain de langue anglaise avec CR 820(73)-3). |
Résumé : |
Avec L'oiseau des ténèbres, Michael Connelly consacre la rencontre de deux de ses personnages : Harry Bosch et Terry Mac Caleb. Depuis Créance de sang où l'ex-agent profiler du FBI Terry Mac Caleb, fraîchement greffé du coeur avait mené sa dernière enquête «forcée», le mariage et la naissance d'une petite fille l'avait convaincu de rompre avec toutes ses anciennes activités. La tentation émerge pourtant un jour, sous la forme d'un dossier trouble que lui présente l'inspectrice Jay Winston. Dés lors, la tentation deviendra le point d'articulation de toute l'histoire. Elle est celle qui fait renoncer Mac Caleb à ses promesses. Mais aussi celle qui figure dans Le jardin des délices de Hieyronymus Bosch, dont un homme s'est inspiré pour mettre en scène un crime. Elle est enfin celle qui délimite la frontière ténue entre le bien et le mal et nourrit la part d'ombre de Harry Bosch.
De tous les personnages créés par Michael Connelly, Harry Bosch est certainement le plus célèbre et le plus adulé par ses lecteurs. Flic que la violence révulse autant quelle peut le fasciner, homme bourru et ténébreux Harry, alias Hyeronymus, porte bien son patronyme. De fait, au fil de ses aventures, Michael Connelly a poussé de plus en plus loin les similitudes qui lient l'inspecteur de la police criminelle de Los Angeles à son homonyme, peintre flamand du XVème siècle (cf. notamment Le dernier Coyote). Leur gémellité tant patronymique que sensible, sur l'appréhension du monde notamment, se voit aujourd'hui exploitée dans cet opus sinueux et complexe qui entremêle plusieurs niveaux d'intrigues.
Si le procédé peut sembler artificiel, le fard se dissout cependant dans la langue précise et incisive de l'auteur. Tu mas dit que si Dieu existait dans les détails, le mal y était aussi. Et ça, ça veut dire que le type que l'on cherche, on la presque toujours sous le nez, mais qu'il se cache dans les détails. dit Bosch à Mac Caleb. L'attention portée au détail c'est aussi la marque Connelly par laquelle il sait guider ses lecteurs dans des eaux de plus en plus noires et troubles. --Sylvaine Jeminet -- Urbuz.com |
Harry Bosch, 7. L'oiseau des ténèbres : roman [texte imprimé] / Michael CONNELLY (1956-....), Auteur ; Robert PÉPIN (1941-....), Traducteur . - Paris : Seuil, 2001 . - 405 p. : couv. ill. ; 23 cm. - ( Policiers Seuil) . ISBN : 978-2-02-044460-6 : 22.95 € Trad. de : "A darkness more than night" Langues : Français ( fre) Langues originales : Américain ( ame)
Mots-clés : |
POLICIER |
Index. décimale : |
820(73)-3 Roman américain traduit de la langue anglaise. (ou roman américain de langue anglaise avec CR 820(73)-3). |
Résumé : |
Avec L'oiseau des ténèbres, Michael Connelly consacre la rencontre de deux de ses personnages : Harry Bosch et Terry Mac Caleb. Depuis Créance de sang où l'ex-agent profiler du FBI Terry Mac Caleb, fraîchement greffé du coeur avait mené sa dernière enquête «forcée», le mariage et la naissance d'une petite fille l'avait convaincu de rompre avec toutes ses anciennes activités. La tentation émerge pourtant un jour, sous la forme d'un dossier trouble que lui présente l'inspectrice Jay Winston. Dés lors, la tentation deviendra le point d'articulation de toute l'histoire. Elle est celle qui fait renoncer Mac Caleb à ses promesses. Mais aussi celle qui figure dans Le jardin des délices de Hieyronymus Bosch, dont un homme s'est inspiré pour mettre en scène un crime. Elle est enfin celle qui délimite la frontière ténue entre le bien et le mal et nourrit la part d'ombre de Harry Bosch.
De tous les personnages créés par Michael Connelly, Harry Bosch est certainement le plus célèbre et le plus adulé par ses lecteurs. Flic que la violence révulse autant quelle peut le fasciner, homme bourru et ténébreux Harry, alias Hyeronymus, porte bien son patronyme. De fait, au fil de ses aventures, Michael Connelly a poussé de plus en plus loin les similitudes qui lient l'inspecteur de la police criminelle de Los Angeles à son homonyme, peintre flamand du XVème siècle (cf. notamment Le dernier Coyote). Leur gémellité tant patronymique que sensible, sur l'appréhension du monde notamment, se voit aujourd'hui exploitée dans cet opus sinueux et complexe qui entremêle plusieurs niveaux d'intrigues.
Si le procédé peut sembler artificiel, le fard se dissout cependant dans la langue précise et incisive de l'auteur. Tu mas dit que si Dieu existait dans les détails, le mal y était aussi. Et ça, ça veut dire que le type que l'on cherche, on la presque toujours sous le nez, mais qu'il se cache dans les détails. dit Bosch à Mac Caleb. L'attention portée au détail c'est aussi la marque Connelly par laquelle il sait guider ses lecteurs dans des eaux de plus en plus noires et troubles. --Sylvaine Jeminet -- Urbuz.com |
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