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Condé, le héros fourvoyé / Simone BERTIERE
Titre : Condé, le héros fourvoyé Type de document : texte imprimé Auteurs : Simone BERTIERE (1926-....), Auteur Editeur : Paris : De Fallois Année de publication : 2011 Importance : 542 p. Présentation : ill. en coul., couv. ill. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87706-777-5 Prix : 26.95 € Note générale : Bibliogr. Index Langues : Français (fre) Catégories : Condé, Louis de Bourbon (1621-1686; prince de) -- Biographies
France -- 1610-1643 (Louis XIII)
France -- 1643-1715 (Louis XIV)Mots-clés : Condé Biographie France Louis XIV Index. décimale : 944.033 Louis XIV, le Grand (1643-1715). CR 944.03 Résumé : À vingt-deux ans, il passait pour l'égal de César et d'Alexandre. De 1643 à 1648, durant la guerre franco-espagnole, il accumula les exploits et devint l'idole de la jeune noblesse d'épée. Il avait tout, naissance et fortune. Il ne lui manquait que d'être roi. Se croyant tout permis, il rejetait obstacles et interdits et cultivait le scandale.
L'action politique, où il s'engagea imprudemment, fut son talon d'Achille. Il soutint d'abord Anne d'Autriche et Mazarin lorsque les magistrats déclenchèrent contre eux la Fronde parlementaire. Mais pour prix de ses services, il montra une telle arrogance et afficha des prétentions si outrées qu'elles lui valurent une année de prison. A sa sortie, il se jeta dans une guerre civile qu'il perdit et, plutôt que de s'incliner, il alla mettre son génie militaire au service des Espagnols, sans pouvoir empêcher leur défaite finale.
De retour après la paix des Pyrénées, il se résigna à n'être qu'un homme privé, dans une France qui avait profondément changé. Il opéra alors une extraordinaire mutation psychologique et morale, faisant de son domaine de Chantilly un haut lieu de culture, de tolérance et de paix.
A travers l'histoire d'un héros, ce livre invite à réfléchir à la gloire, à ses enjeux, à ses dérives. En arrière-plan, il évoque, avec la régente, Gaston d'Orléans, Mazarin, Turenne et le jeune Louis XIV, les grandes figures d'une époque où les derniers sursauts de l'esprit féodal s'effacent pour laisser place à la France moderne.
Bien que solidement documenté et non romancé, il s'anime sous la plume alerte de Simone Bertière de plaisantes anecdotes et se colore d'humour.
Condé, le héros fourvoyé [texte imprimé] / Simone BERTIERE (1926-....), Auteur . - Paris : De Fallois, 2011 . - 542 p. : ill. en coul., couv. ill. ; 23 cm.
ISBN : 978-2-87706-777-5 : 26.95 €
Bibliogr. Index
Langues : Français (fre)
Catégories : Condé, Louis de Bourbon (1621-1686; prince de) -- Biographies
France -- 1610-1643 (Louis XIII)
France -- 1643-1715 (Louis XIV)Mots-clés : Condé Biographie France Louis XIV Index. décimale : 944.033 Louis XIV, le Grand (1643-1715). CR 944.03 Résumé : À vingt-deux ans, il passait pour l'égal de César et d'Alexandre. De 1643 à 1648, durant la guerre franco-espagnole, il accumula les exploits et devint l'idole de la jeune noblesse d'épée. Il avait tout, naissance et fortune. Il ne lui manquait que d'être roi. Se croyant tout permis, il rejetait obstacles et interdits et cultivait le scandale.
L'action politique, où il s'engagea imprudemment, fut son talon d'Achille. Il soutint d'abord Anne d'Autriche et Mazarin lorsque les magistrats déclenchèrent contre eux la Fronde parlementaire. Mais pour prix de ses services, il montra une telle arrogance et afficha des prétentions si outrées qu'elles lui valurent une année de prison. A sa sortie, il se jeta dans une guerre civile qu'il perdit et, plutôt que de s'incliner, il alla mettre son génie militaire au service des Espagnols, sans pouvoir empêcher leur défaite finale.
De retour après la paix des Pyrénées, il se résigna à n'être qu'un homme privé, dans une France qui avait profondément changé. Il opéra alors une extraordinaire mutation psychologique et morale, faisant de son domaine de Chantilly un haut lieu de culture, de tolérance et de paix.
A travers l'histoire d'un héros, ce livre invite à réfléchir à la gloire, à ses enjeux, à ses dérives. En arrière-plan, il évoque, avec la régente, Gaston d'Orléans, Mazarin, Turenne et le jeune Louis XIV, les grandes figures d'une époque où les derniers sursauts de l'esprit féodal s'effacent pour laisser place à la France moderne.
Bien que solidement documenté et non romancé, il s'anime sous la plume alerte de Simone Bertière de plaisantes anecdotes et se colore d'humour.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 410000068473 944.033 Livre documentaire Jardin perdu Adultes Document en bon état Disponible Histoire de France illustrée, [3]. Les Guerres de religion et les débuts du Grand siècle / Alain MELCHIOR-BONNET
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Titre de série : Histoire de France illustrée, [3] Titre : Les Guerres de religion et les débuts du Grand siècle : 1547-1661 Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain MELCHIOR-BONNET, Directeur de publication ; Pierre MIQUEL (1930-2007), Préfacier, etc. Editeur : Paris : Larousse Année de publication : 1987 Importance : 405 p. Présentation : ill. en coul. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-03-252708-3 Langues : Français (fre) Catégories : France -- 1562-1598 (Guerres de religion)
France -- 1574-1589 (Henri III)
France -- 1589-1610 (Henri IV)
France -- 1610-1643 (Louis XIII)
France -- 1643-1661 (Régence)Mots-clés : Guerres de religion Henri III Henri IV Régence François I Monarchie Index. décimale : 944 Histoire de la France. Résumé : "La première victime de la persécution religieuse en France est brûlée place de Grève en août 1523. C'est Jean Vallière. Pendant plus de deux siècles, la question religieuse continua de se poser dans le royaume, puisque le 31 mars 1771, jour de Pâques, le pasteur Charmuzy, de Nanteuil, est arrêté en chaire, garrotté, fouetté publiquement. En prison, à Meaux, il meurt neuf jours plus tard des suites des coups reçus. Le pasteur Charmuzy est la dernière victime d'une très longue tragédie. En 1788, les protestants furent enfin admis comme des Français à part entière. C'est l'affaire des Placards, en 1534, qui donnait à la Réforme toute son importance politique. Si les luthériens prétendaient contester la "messe du roi", la "messe papale", ils s'en prenaient au fondement du trône. Le roi de France tenait son pouvoir de Dieu, par l'intermédiaire de l'archevêque de Reims et des saintes espèces... Le roi de France ne pouvait pas présider un État plurireligieux. Il était le berger du troupeau du Seigneur. Si les protestants ne voulaient plus aller à la messe, irrémédiablement, il finirait par penser qu'il fallait les chasser du royaume très chrétien. Même François Ier, le roi tolérant, l'ami des humanistes et des philosophes, ne pourrait faire autrement.(...)" - Extrait de la préface par Pierre Miquel
Histoire de France illustrée, [3]. Les Guerres de religion et les débuts du Grand siècle : 1547-1661 [texte imprimé] / Alain MELCHIOR-BONNET, Directeur de publication ; Pierre MIQUEL (1930-2007), Préfacier, etc. . - Paris : Larousse, 1987 . - 405 p. : ill. en coul.
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ISBN : 978-2-03-252708-3
Langues : Français (fre)
Catégories : France -- 1562-1598 (Guerres de religion)
France -- 1574-1589 (Henri III)
France -- 1589-1610 (Henri IV)
France -- 1610-1643 (Louis XIII)
France -- 1643-1661 (Régence)Mots-clés : Guerres de religion Henri III Henri IV Régence François I Monarchie Index. décimale : 944 Histoire de la France. Résumé : "La première victime de la persécution religieuse en France est brûlée place de Grève en août 1523. C'est Jean Vallière. Pendant plus de deux siècles, la question religieuse continua de se poser dans le royaume, puisque le 31 mars 1771, jour de Pâques, le pasteur Charmuzy, de Nanteuil, est arrêté en chaire, garrotté, fouetté publiquement. En prison, à Meaux, il meurt neuf jours plus tard des suites des coups reçus. Le pasteur Charmuzy est la dernière victime d'une très longue tragédie. En 1788, les protestants furent enfin admis comme des Français à part entière. C'est l'affaire des Placards, en 1534, qui donnait à la Réforme toute son importance politique. Si les luthériens prétendaient contester la "messe du roi", la "messe papale", ils s'en prenaient au fondement du trône. Le roi de France tenait son pouvoir de Dieu, par l'intermédiaire de l'archevêque de Reims et des saintes espèces... Le roi de France ne pouvait pas présider un État plurireligieux. Il était le berger du troupeau du Seigneur. Si les protestants ne voulaient plus aller à la messe, irrémédiablement, il finirait par penser qu'il fallait les chasser du royaume très chrétien. Même François Ier, le roi tolérant, l'ami des humanistes et des philosophes, ne pourrait faire autrement.(...)" - Extrait de la préface par Pierre Miquel
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