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Femmes victimes de violence -- France -- 1990-.... |
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Lorsque je me suis relevée j'ai pris mon fusil / Valentine FAURE
Titre : Lorsque je me suis relevée j'ai pris mon fusil : imaginer la violence des femmes Type de document : texte imprimé Auteurs : Valentine FAURE, Auteur Editeur : Paris : Grasset Année de publication : 2018 Importance : 194 p. Présentation : ill. de couv. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-246-81302-6 Prix : 20 € Langues : Français (fre) Catégories : Femmes victimes de violence -- France -- 1990-....
Violence -- Aspect psychologique
Violence entre conjoints
Violence envers les femmesMots-clés : Violence conjugale Index. décimale : 173.1 Mariage. Lien conjugal. Divorce. [Famille recomposée]. Résumé : « Oui c’est vrai je lui ai tiré dans le dos, eh oui, j’ai fait ça. J’ai pété les plombs et voilà. Je m’étais un peu reposée et lorsque je me suis relevée j’ai pris mon fusil, j’ai mis les cartouches, j’ai tiré et j’ai appelé le 18. Je ne vois pas ce qu’il y a à dire de plus. »
Jacqueline Sauvage
Peu après les attentats de novembre 2015, nous découvrons l’histoire d’une femme condamnée à dix ans de prison pour avoir tué son mari qui la battait. Ce verdict indigne une partie de l’opinion, la grâce présidentielle va en scandaliser une autre. Par ces trois coups de fusil, Jacqueline Sauvage est devenue le visage des violences faites aux femmes.
Pourquoi un tel déchaînement médiatique, s’interroge Valentine Faure ? Elle enquête sur le sens d'un tel geste, qui dit à la fois la puissance et l’impuissance, interrogeant ainsi le statut de victime. Ce crime en était-il un ? Que peuvent les femmes face à la violence des hommes? Peut-on se libérer de la brutalité par une brutalité supérieure? Et que faire de la violence des femmes alors que l’on n’a jamais aussi fermement condamné celle des hommes?
La criminalité féminine stupéfie et fascine. Valentine Faure éclaire ce qui au fil des siècles a pu être traité comme une pathologie, un mystère, une monstruosité ou le résultat d’une influence, rarement comme une menace réelle ou l’expression d’une colère légitime. Il est notamment question de Lorena Bobbitt, cette Américaine qui en 1993 tranchait le sexe de son mari, des empoisonneuses du XIXe siècle, du syndrome de la femme battue, du toujours très répandu « crime passionnel » ou encore de criminologie féministe… Valentine Faure relate aussi expériences et réflexions personnelles dans ce récit-essai original et stimulant qui ose démystifier la violence des femmes.Lorsque je me suis relevée j'ai pris mon fusil : imaginer la violence des femmes [texte imprimé] / Valentine FAURE, Auteur . - Paris : Grasset, 2018 . - 194 p. : ill. de couv.
ISBN : 978-2-246-81302-6 : 20 €
Langues : Français (fre)
Catégories : Femmes victimes de violence -- France -- 1990-....
Violence -- Aspect psychologique
Violence entre conjoints
Violence envers les femmesMots-clés : Violence conjugale Index. décimale : 173.1 Mariage. Lien conjugal. Divorce. [Famille recomposée]. Résumé : « Oui c’est vrai je lui ai tiré dans le dos, eh oui, j’ai fait ça. J’ai pété les plombs et voilà. Je m’étais un peu reposée et lorsque je me suis relevée j’ai pris mon fusil, j’ai mis les cartouches, j’ai tiré et j’ai appelé le 18. Je ne vois pas ce qu’il y a à dire de plus. »
Jacqueline Sauvage
Peu après les attentats de novembre 2015, nous découvrons l’histoire d’une femme condamnée à dix ans de prison pour avoir tué son mari qui la battait. Ce verdict indigne une partie de l’opinion, la grâce présidentielle va en scandaliser une autre. Par ces trois coups de fusil, Jacqueline Sauvage est devenue le visage des violences faites aux femmes.
Pourquoi un tel déchaînement médiatique, s’interroge Valentine Faure ? Elle enquête sur le sens d'un tel geste, qui dit à la fois la puissance et l’impuissance, interrogeant ainsi le statut de victime. Ce crime en était-il un ? Que peuvent les femmes face à la violence des hommes? Peut-on se libérer de la brutalité par une brutalité supérieure? Et que faire de la violence des femmes alors que l’on n’a jamais aussi fermement condamné celle des hommes?
La criminalité féminine stupéfie et fascine. Valentine Faure éclaire ce qui au fil des siècles a pu être traité comme une pathologie, un mystère, une monstruosité ou le résultat d’une influence, rarement comme une menace réelle ou l’expression d’une colère légitime. Il est notamment question de Lorena Bobbitt, cette Américaine qui en 1993 tranchait le sexe de son mari, des empoisonneuses du XIXe siècle, du syndrome de la femme battue, du toujours très répandu « crime passionnel » ou encore de criminologie féministe… Valentine Faure relate aussi expériences et réflexions personnelles dans ce récit-essai original et stimulant qui ose démystifier la violence des femmes.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 410000106296 173.1 Livre documentaire Six-Bonniers Adultes Document en bon état Disponible Silence, on cogne / Alizé BERNARD
Titre : Silence, on cogne : enquête sur les violences conjugales subies par des femmes de gendarmes et de policiers Type de document : texte imprimé Auteurs : Alizé BERNARD, Auteur ; Sophie BOUTBOUL, Auteur Editeur : Paris : Grasset Année de publication : impr. 2019 Importance : 379 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-246-81881-6 Prix : 23,85 € Langues : Français (fre) Catégories : Femmes victimes de violence -- France -- 1990-....
Policiers -- Conjoints -- France -- 1990-....
Violence conjugale -- France -- 1990-....Mots-clés : violences conjugales maltraitance conjoints police policiers Index. décimale : 173.1 Mariage. Lien conjugal. Divorce. [Famille recomposée]. Résumé : Alizé Bernard a été victime de violences conjugales. Si elle savait les difficultés qu’ont les femmes à parler et à se faire entendre, elle n’imaginait pas combien le statut de son conjoint rendrait son combat pour s’en sortir plus difficile encore. Car ce dernier était gendarme. Or comment faire quand celui qui vous bat se sert de son statut, représentant de l’ordre, de sa place dans l’institution policière, de sa connaissance des procédures et des liens supposés de solidarité avec ses collègues, pour vous intimider, vous dissuader de vous défendre et faire valoir vos droits ? A Sophie Boutboul, journaliste travaillant sur les violences faites aux femmes, elle a accepté de raconter son histoire ; les mois de silence, isolée en caserne, persuadée que nul n’accepterait de la croire, la peur démultipliée devant un homme incarnant la loi et disposant d’une arme de service, puis les années de luttes, seule, pour faire valoir ses droits malgré les obstacles qu’elle dénonce ; les tentatives de dissuasion de certains gendarmes, les procédures non respectées, l’absence de sanction hiérarchique, l’indulgence de certains juges. L’impression de se battre contre un système.
Au récit de son combat étape par étape, répond, en alternance, l’enquête qu’a menée Sophie Boutboul. Car le cas d’Alizé n’est pas isolé. Chaque année, des femmes meurent sous les coups et les balles de leur conjoint policier ou gendarme. Pendant un an et demi, elle a sillonné le pays pour recueillir le témoignage de femmes ayant connu le même chemin de croix : les tentatives de dissuasion, les menaces, les procédures caduques, la protection, voire l’impunité, dont certains ont joui du fait de leur statut. Pour en comprendre les raisons, elle a rencontré des avocats, juges, magistrats, les membres d’associations aidant des femmes dans le même cas, les familles des victimes, mais aussi des policiers et des gendarmes reconnaissant les conséquences de leur métier sur leur vie personnelle et l’absence de mesures pour les prévenir, et les hauts placés de l’IGPN et de l’IGGN, les instances d’inspection de la police et de la gendarmerie. Elle expose les failles d’un système qui ne pense pas la place des femmes auprès d’hommes exposés à la violence et les risques que cela implique. C’est un texte engagé qu’Alizé Bernard et Sophie Boutboul signent là. Pour permettre aux femmes victimes de telles violences de savoir qu’elles ne sont pas seules. Ouvrir le débat et proposer des pistes de réflexion, des solutions, pour protéger les victimes de ces violences particulières.Silence, on cogne : enquête sur les violences conjugales subies par des femmes de gendarmes et de policiers [texte imprimé] / Alizé BERNARD, Auteur ; Sophie BOUTBOUL, Auteur . - Paris : Grasset, impr. 2019 . - 379 p. : couv. ill. en coul. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-246-81881-6 : 23,85 €
Langues : Français (fre)
Catégories : Femmes victimes de violence -- France -- 1990-....
Policiers -- Conjoints -- France -- 1990-....
Violence conjugale -- France -- 1990-....Mots-clés : violences conjugales maltraitance conjoints police policiers Index. décimale : 173.1 Mariage. Lien conjugal. Divorce. [Famille recomposée]. Résumé : Alizé Bernard a été victime de violences conjugales. Si elle savait les difficultés qu’ont les femmes à parler et à se faire entendre, elle n’imaginait pas combien le statut de son conjoint rendrait son combat pour s’en sortir plus difficile encore. Car ce dernier était gendarme. Or comment faire quand celui qui vous bat se sert de son statut, représentant de l’ordre, de sa place dans l’institution policière, de sa connaissance des procédures et des liens supposés de solidarité avec ses collègues, pour vous intimider, vous dissuader de vous défendre et faire valoir vos droits ? A Sophie Boutboul, journaliste travaillant sur les violences faites aux femmes, elle a accepté de raconter son histoire ; les mois de silence, isolée en caserne, persuadée que nul n’accepterait de la croire, la peur démultipliée devant un homme incarnant la loi et disposant d’une arme de service, puis les années de luttes, seule, pour faire valoir ses droits malgré les obstacles qu’elle dénonce ; les tentatives de dissuasion de certains gendarmes, les procédures non respectées, l’absence de sanction hiérarchique, l’indulgence de certains juges. L’impression de se battre contre un système.
Au récit de son combat étape par étape, répond, en alternance, l’enquête qu’a menée Sophie Boutboul. Car le cas d’Alizé n’est pas isolé. Chaque année, des femmes meurent sous les coups et les balles de leur conjoint policier ou gendarme. Pendant un an et demi, elle a sillonné le pays pour recueillir le témoignage de femmes ayant connu le même chemin de croix : les tentatives de dissuasion, les menaces, les procédures caduques, la protection, voire l’impunité, dont certains ont joui du fait de leur statut. Pour en comprendre les raisons, elle a rencontré des avocats, juges, magistrats, les membres d’associations aidant des femmes dans le même cas, les familles des victimes, mais aussi des policiers et des gendarmes reconnaissant les conséquences de leur métier sur leur vie personnelle et l’absence de mesures pour les prévenir, et les hauts placés de l’IGPN et de l’IGGN, les instances d’inspection de la police et de la gendarmerie. Elle expose les failles d’un système qui ne pense pas la place des femmes auprès d’hommes exposés à la violence et les risques que cela implique. C’est un texte engagé qu’Alizé Bernard et Sophie Boutboul signent là. Pour permettre aux femmes victimes de telles violences de savoir qu’elles ne sont pas seules. Ouvrir le débat et proposer des pistes de réflexion, des solutions, pour protéger les victimes de ces violences particulières.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 410000012096 173.1 Livre documentaire Jardin perdu Adultes Document en bon état Disponible Sous mon niqab / ZEINA
Titre : Sous mon niqab Type de document : texte imprimé Auteurs : ZEINA, Auteur ; Djénane Kareh TAGER, Auteur Editeur : Paris : J'ai Lu Année de publication : 2010 Collection : J'ai Lu . Témoignage Importance : 1456 p. Présentation : couv. ill. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-290-03118-6 Prix : 4,80 € Langues : Français (fre) Catégories : Femmes victimes de violence -- France -- 1990-....
Françaises d'origine maghrébine -- France -- 1990-....Mots-clés : ISLAM FEMME VOILE Index. décimale : 840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. Résumé : "Zeina est née dans une banlieue française. Elle a été élevée au sein d’une famille musulmane traditionnelle. Elle ne voulait pas porter le voile. Pourtant, elle a dissimulé ses cheveux, son corps, puis son visage, jusqu’à ses yeux. Elle a revêtu le hijab, puis le jilbab et enfin le niqab. Son mari l’y a contrainte, à force de reproches, de blâmes, puis de coups. Sa propre famille l’y a encouragée : pour tous, elle était devenue « la fierté de l’islam ». Zeina, elle,se sentait devenir une ombre, « un spectre » : peu à peu, elle a abdiqué sa volonté, sa dignité, son identité. Pendant des années, elle s’est soumise. Sous son niqab, elle avait peur de se révolter. Hantise des coups, angoisse du déshonneur, terreur de l’Enfer dont la menaçaient les « sœurs » dela mosquée depuis qu’elle était enfant. Jusqu’au jour où, aidée par une voisine, elle a trouvé le courage de s’enfuir. Elle a alors connu la rue, la misère, la traque impitoyable des siens. Elle a réussi, seule, à s’évader de la prison qui s’était refermée sur elle : aujourd’hui, Zeina a retrouvé un travail, sa liberté, et elle se reconstruit. En butte au mépris des siens, au rejet, à la haine, aux menaces physiques, elle a décidé de raconter l’enfer qu’elle a vécu et son combat pour en sortir. L’histoire de Zeina s’estdéroulée en France, au XXIe siècle, à quelques centaines de mètre de chez nous."
Sous mon niqab [texte imprimé] / ZEINA, Auteur ; Djénane Kareh TAGER, Auteur . - Paris : J'ai Lu, 2010 . - 1456 p. : couv. ill.. - (J'ai Lu . Témoignage) .
ISBN : 978-2-290-03118-6 : 4,80 €
Langues : Français (fre)
Catégories : Femmes victimes de violence -- France -- 1990-....
Françaises d'origine maghrébine -- France -- 1990-....Mots-clés : ISLAM FEMME VOILE Index. décimale : 840-94 Mémoires, journaux intimes de langue française. Résumé : "Zeina est née dans une banlieue française. Elle a été élevée au sein d’une famille musulmane traditionnelle. Elle ne voulait pas porter le voile. Pourtant, elle a dissimulé ses cheveux, son corps, puis son visage, jusqu’à ses yeux. Elle a revêtu le hijab, puis le jilbab et enfin le niqab. Son mari l’y a contrainte, à force de reproches, de blâmes, puis de coups. Sa propre famille l’y a encouragée : pour tous, elle était devenue « la fierté de l’islam ». Zeina, elle,se sentait devenir une ombre, « un spectre » : peu à peu, elle a abdiqué sa volonté, sa dignité, son identité. Pendant des années, elle s’est soumise. Sous son niqab, elle avait peur de se révolter. Hantise des coups, angoisse du déshonneur, terreur de l’Enfer dont la menaçaient les « sœurs » dela mosquée depuis qu’elle était enfant. Jusqu’au jour où, aidée par une voisine, elle a trouvé le courage de s’enfuir. Elle a alors connu la rue, la misère, la traque impitoyable des siens. Elle a réussi, seule, à s’évader de la prison qui s’était refermée sur elle : aujourd’hui, Zeina a retrouvé un travail, sa liberté, et elle se reconstruit. En butte au mépris des siens, au rejet, à la haine, aux menaces physiques, elle a décidé de raconter l’enfer qu’elle a vécu et son combat pour en sortir. L’histoire de Zeina s’estdéroulée en France, au XXIe siècle, à quelques centaines de mètre de chez nous."
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 410000098775 8-94 ZEI Livre documentaire Six-Bonniers Adultes Document en bon état Disponible