Titre : |
Reflets dans un oeil d'or |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Carson McCULLERS, Auteur ; Charles CESTRE, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Librairie Générale Française |
Collection : |
Le Livre de Poche |
Sous-collection : |
Biblio |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-253-03588-6 |
Prix : |
4.00 E |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
820(73)-3 Roman américain traduit de la langue anglaise. (ou roman américain de langue anglaise avec CR 820(73)-3). |
Résumé : |
eflets dans un oeil d'or est le récit des abîmes. Ceux de l'âme et de l'instinct, qui précipitent les personnages dans le drame. Dans un fort du Sud américain, un meurtre est commis : drame passionnel dirait-on d'abord. Le capitaine Penderton tue le soldat Williams qu'il trouve une nuit près de sa femme endormie. Ajoutons qu'en fond se déroule une seconde tragédie. La femme du commandant Langdon meurt de chagrin en découvrant qu'il est l'amant de ladite femme du capitaine. Mais dans les romans de McCullers, la réalité n'a que l'apparence de la banalité. Comme Camus, la jeune écrivain s'intéresse à ce moment où, tels des pantins, les personnages n'obéissent plus qu'à la ficelle de l'impulsif. Alors surgit le tragique, soudaine et violente irruption du mal, inhérent à la condition humaine. |
Reflets dans un oeil d'or [texte imprimé] / Carson McCULLERS, Auteur ; Charles CESTRE, Traducteur . - Paris : Librairie Générale Française, [s.d.]. - ( Le Livre de Poche. Biblio) . ISBN : 978-2-253-03588-6 : 4.00 E Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
820(73)-3 Roman américain traduit de la langue anglaise. (ou roman américain de langue anglaise avec CR 820(73)-3). |
Résumé : |
eflets dans un oeil d'or est le récit des abîmes. Ceux de l'âme et de l'instinct, qui précipitent les personnages dans le drame. Dans un fort du Sud américain, un meurtre est commis : drame passionnel dirait-on d'abord. Le capitaine Penderton tue le soldat Williams qu'il trouve une nuit près de sa femme endormie. Ajoutons qu'en fond se déroule une seconde tragédie. La femme du commandant Langdon meurt de chagrin en découvrant qu'il est l'amant de ladite femme du capitaine. Mais dans les romans de McCullers, la réalité n'a que l'apparence de la banalité. Comme Camus, la jeune écrivain s'intéresse à ce moment où, tels des pantins, les personnages n'obéissent plus qu'à la ficelle de l'impulsif. Alors surgit le tragique, soudaine et violente irruption du mal, inhérent à la condition humaine. |
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