Titre de série : |
Les chroniques d'Edward Holmes et Gower Watson, 8 |
Titre : |
Le signe des trois |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean d' AILLON (1948-....), Auteur |
Editeur : |
Paris [FRANCE] : 10/18 (Union Générale d'Editions-UGE) |
Année de publication : |
DL 2021 |
Collection : |
10/18 num. 5691 |
Importance : |
595 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-264-07828-5 |
Prix : |
9,20 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Ils étaient trois. Trois amis, trois damoiseaux qui avaient appris à se battre ensemble pour devenir chevalier.
Ils étaient trois. Trois amis, trois damoiseaux qui avaient appris à se battre ensemble pour devenir chevalier. Hélas, Azincourt devait briser ce rêve. L'un y fut égorgé avec d'autres prisonniers sur ordre d'Henry V, et les deux autres partirent comme prisonniers en Angleterre. Leur rançon ne fut jamais payée.
Or, un beau jour du joli mois de mai de l'an de grâce 1425, dix ans après Azincourt, une noble dame, épouse du bras droit du président du parlement Philippe de Morvilliers, fervent soutien de la cause anglaise à Paris, vint demander au clerc Edward Holmes de rechercher un chanteur de rue qu'elle a aperçu et qui portait sur sa cotte une fleur de mouron rouge.
Or cette fleur, Gower Watson l'avait vue sur les cottes d'armes de trois écuyers prisonniers après la bataille d'Azincourt. Des damoiseaux que le duc de Gloucester lui avait ordonné de tuer comme la plupart des prisonniers de la bataille. Ce qu'il avait refusé. |
Les chroniques d'Edward Holmes et Gower Watson, 8. Le signe des trois [texte imprimé] / Jean d' AILLON (1948-....), Auteur . - Paris [FRANCE] : 10/18 (Union Générale d'Editions-UGE), DL 2021 . - 595 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( 10/18; 5691) . ISBN : 978-2-264-07828-5 : 9,20 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Ils étaient trois. Trois amis, trois damoiseaux qui avaient appris à se battre ensemble pour devenir chevalier.
Ils étaient trois. Trois amis, trois damoiseaux qui avaient appris à se battre ensemble pour devenir chevalier. Hélas, Azincourt devait briser ce rêve. L'un y fut égorgé avec d'autres prisonniers sur ordre d'Henry V, et les deux autres partirent comme prisonniers en Angleterre. Leur rançon ne fut jamais payée.
Or, un beau jour du joli mois de mai de l'an de grâce 1425, dix ans après Azincourt, une noble dame, épouse du bras droit du président du parlement Philippe de Morvilliers, fervent soutien de la cause anglaise à Paris, vint demander au clerc Edward Holmes de rechercher un chanteur de rue qu'elle a aperçu et qui portait sur sa cotte une fleur de mouron rouge.
Or cette fleur, Gower Watson l'avait vue sur les cottes d'armes de trois écuyers prisonniers après la bataille d'Azincourt. Des damoiseaux que le duc de Gloucester lui avait ordonné de tuer comme la plupart des prisonniers de la bataille. Ce qu'il avait refusé. |
|