Titre : |
Tout le monde n'a pas la chance d'aimer la carpe farcie |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Élise GOLDBERG (1973-....), Auteur |
Editeur : |
Lagrasse : Verdier |
Année de publication : |
2023 |
Collection : |
Chaoïd |
Importance : |
151 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-37856-178-9 |
Note générale : |
Prix de la Porte Dorée 2024 du roman. - Prix du meilleur premier roman des Inrockuptibles 2023 |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Un grand-père meurt. Une petite-fille récupère son frigo et l’installe dans sa cuisine. La porte à peine ouverte, nous franchissons la frontière de la Pologne juive, et c’est un monde qui se découvre, un monde de foie de volaille, d’« ognonnes », de gefilte fish, la carpe farcie en yiddish. La cuisine ashkénaze n’est peut-être pas la plus sexy, et le yiddish n’a pas toujours été une langue bien normée. Mais ce sont autant de saveurs et de couleurs, de mots et de sonorités, toute une culture et une histoire qu’Élise Goldberg nous restitue ici, dans ce premier livre aussi drôle qu’émouvant. L’histoire familiale, dit la narratrice, est « un récit sans chair, dont ne subsisterait que la colonne, quelques arêtes » – une carpe, en quelque sorte, qu’il faut réussir à farcir si on veut l’aimer. |
Tout le monde n'a pas la chance d'aimer la carpe farcie [texte imprimé] / Élise GOLDBERG (1973-....), Auteur . - Lagrasse : Verdier, 2023 . - 151 p. : couv. ill. ; 22 cm. - ( Chaoïd) . ISBN : 978-2-37856-178-9 Prix de la Porte Dorée 2024 du roman. - Prix du meilleur premier roman des Inrockuptibles 2023 Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Un grand-père meurt. Une petite-fille récupère son frigo et l’installe dans sa cuisine. La porte à peine ouverte, nous franchissons la frontière de la Pologne juive, et c’est un monde qui se découvre, un monde de foie de volaille, d’« ognonnes », de gefilte fish, la carpe farcie en yiddish. La cuisine ashkénaze n’est peut-être pas la plus sexy, et le yiddish n’a pas toujours été une langue bien normée. Mais ce sont autant de saveurs et de couleurs, de mots et de sonorités, toute une culture et une histoire qu’Élise Goldberg nous restitue ici, dans ce premier livre aussi drôle qu’émouvant. L’histoire familiale, dit la narratrice, est « un récit sans chair, dont ne subsisterait que la colonne, quelques arêtes » – une carpe, en quelque sorte, qu’il faut réussir à farcir si on veut l’aimer. |
| |