Titre : |
Les orphelins de François |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Bernard (Belge) GHEUR (1945-....), Auteur belge |
Editeur : |
Neufchâteau [Belgique] : Weyrich |
Année de publication : |
impr. 2021 |
Collection : |
Plumes du Coq |
Importance : |
302 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-87489-617-0 |
Prix : |
16 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
Résumé : |
Le 24 octobre 1984, au cimetière de Montmartre, Claude de Givray prononce l’éloge funèbre de son ami François Truffaut. « Si François n’était pas né, s’il n’avait pas été cinéaste… » Et moi, que serais-je devenu si François Truffaut n’avait pas existé ? À 16 ans, je n’aurais pas parcouru les rues de Liège une caméra à la main, ni fait la sortie des écoles de filles, en quête de jolies actrices. À 17 ans, je n’aurais pas pris le rapide Moscou-Paris de 00h10, aux Guillemins, pour découvrir un film en exclusivité, remonter les Champs-Elysées, sonner à certaines portes. À 20 ans, sans une lettre merveilleuse, sur papier pelure, postée de Paris, je ne me serais pas jeté dans l’écriture d’un roman. Et, à 39 ans, quittant mon journal un dimanche soir, après le bouclage de la dernière édition, je ne me serais pas mis à pleurer comme un enfant perdu…
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Les orphelins de François [texte imprimé] / Bernard (Belge) GHEUR (1945-....), Auteur belge . - Neufchâteau [Belgique] : Weyrich, impr. 2021 . - 302 p. : couv. ill. ; 22 cm. - ( Plumes du Coq) . ISBN : 978-2-87489-617-0 : 16 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
Résumé : |
Le 24 octobre 1984, au cimetière de Montmartre, Claude de Givray prononce l’éloge funèbre de son ami François Truffaut. « Si François n’était pas né, s’il n’avait pas été cinéaste… » Et moi, que serais-je devenu si François Truffaut n’avait pas existé ? À 16 ans, je n’aurais pas parcouru les rues de Liège une caméra à la main, ni fait la sortie des écoles de filles, en quête de jolies actrices. À 17 ans, je n’aurais pas pris le rapide Moscou-Paris de 00h10, aux Guillemins, pour découvrir un film en exclusivité, remonter les Champs-Elysées, sonner à certaines portes. À 20 ans, sans une lettre merveilleuse, sur papier pelure, postée de Paris, je ne me serais pas jeté dans l’écriture d’un roman. Et, à 39 ans, quittant mon journal un dimanche soir, après le bouclage de la dernière édition, je ne me serais pas mis à pleurer comme un enfant perdu…
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