Titre : |
Un monde à portée de main : roman |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Maylis de KERANGAL (1967-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : Gallimard |
Année de publication : |
DL 2020 |
Collection : |
Folio num. 6771 |
Importance : |
326 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-287440-6 |
Prix : |
7,50 € |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Rentrée littéraire 2018 |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
"Paula se souvient de la grande verrière de la rue du Métal, de la luminosité particulière de l'atelier et alors, Jonas apparaît, la gueule de Rembrandt, le regard clandestin, la peau d'iguane, la prunelle d'un noir bleuté, le blanc de l'oeil aux reflets de perle, les cernes de cendre." À vingt ans, Paula entre dans le prestigieux Institut de peinture de Bruxelles. Elle y apprend à copier les surfaces qui composent le monde, à donner l'illusion des matières vivantes. Les nuits blanches s'enchaînent, les sentiments tournoient. Des studios de cinéma de Cinecittà, à Rome, au fac-similé de la grotte de Lascaux, elle s'immerge dans le travail. Sous son pinceau, les images enchevêtrent le passé et le présent, le loin et le proche, la fiction et la vie. Si Paula veut comprendre le monde qu'elle peint, il lui faudra d'abord le saisir de ses mains. |
Un monde à portée de main : roman [texte imprimé] / Maylis de KERANGAL (1967-....), Auteur . - Paris : Gallimard, DL 2020 . - 326 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Folio; 6771) . ISBN : 978-2-07-287440-6 : 7,50 € Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Rentrée littéraire 2018 |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
"Paula se souvient de la grande verrière de la rue du Métal, de la luminosité particulière de l'atelier et alors, Jonas apparaît, la gueule de Rembrandt, le regard clandestin, la peau d'iguane, la prunelle d'un noir bleuté, le blanc de l'oeil aux reflets de perle, les cernes de cendre." À vingt ans, Paula entre dans le prestigieux Institut de peinture de Bruxelles. Elle y apprend à copier les surfaces qui composent le monde, à donner l'illusion des matières vivantes. Les nuits blanches s'enchaînent, les sentiments tournoient. Des studios de cinéma de Cinecittà, à Rome, au fac-similé de la grotte de Lascaux, elle s'immerge dans le travail. Sous son pinceau, les images enchevêtrent le passé et le présent, le loin et le proche, la fiction et la vie. Si Paula veut comprendre le monde qu'elle peint, il lui faudra d'abord le saisir de ses mains. |
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