Titre de série : |
Les sentiers des astres, 1 |
Titre : |
Manesh |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Stefan (Belge) PLATTEAU, Auteur belge |
Editeur : |
Paris : J'ai Lu |
Année de publication : |
2019 |
Collection : |
J'ai Lu num. 11447 |
Importance : |
731 p. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-290-12795-7 |
Prix : |
9.90 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
Résumé : |
Quelque part dans la forêt de Vyanthryr réside le Roi-Diseur, l'oracle légendaire. Dernier espoir d'une nation ravagée par la guerre civile, le capitaine Rana remonte le fleuve à sa recherche, entraînant dans sa quête une poignée de braves. Personne n'a jamais navigué si loin en amont, à des milles de toute civilisation. Et pourtant, voilà qu'un naufragé dérive à leur rencontre, accroché à une simple branche. Qui est-il, et que lui est-il arrivé ? Lui qui se fait appeler "le Bâtard", est-il un simple humain, ou l'héritier d'un sang plus ancien ? En ces terres du Nord, les géants et les dieux marchent encore sous les arbres. Déjà, la forêt frémit des prémices de leur colère... |
Les sentiers des astres, 1. Manesh [texte imprimé] / Stefan (Belge) PLATTEAU, Auteur belge . - Paris : J'ai Lu, 2019 . - 731 p. ; 18 cm. - ( J'ai Lu; 11447) . ISBN : 978-2-290-12795-7 : 9.90 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
Résumé : |
Quelque part dans la forêt de Vyanthryr réside le Roi-Diseur, l'oracle légendaire. Dernier espoir d'une nation ravagée par la guerre civile, le capitaine Rana remonte le fleuve à sa recherche, entraînant dans sa quête une poignée de braves. Personne n'a jamais navigué si loin en amont, à des milles de toute civilisation. Et pourtant, voilà qu'un naufragé dérive à leur rencontre, accroché à une simple branche. Qui est-il, et que lui est-il arrivé ? Lui qui se fait appeler "le Bâtard", est-il un simple humain, ou l'héritier d'un sang plus ancien ? En ces terres du Nord, les géants et les dieux marchent encore sous les arbres. Déjà, la forêt frémit des prémices de leur colère... |
|