Titre : |
La métallo |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Catherine ECOLE-BOIVIN (1966-....), Auteur |
Editeur : |
Montpellier : Gabelire |
Année de publication : |
DL 2019 |
Collection : |
Gabelire Histoire vécue Corps 20 |
Importance : |
437 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
24 cm. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-37083-226-9 |
Prix : |
22.84€ |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Grand caractère |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Si Yvonnick a un prénom et des bras d'homme, c'est grâce à sa mère qui lui a appris à se défendre des coups. Et ces bras d'homme, Yvonnick en a bien besoin depuis que son mari, qui travaillait à J.J. Carnaud et forges de Basse-Indre, l'ancêtre d'Usinor puis d'Arcelor, n'est plus là. En acceptant de prendre sa relève à la forge, la jeune veuve et mère d'un enfant fragile, élevée dans le marais salant breton, devient métallo.
Une vie ouvrière de lutte, qui ne l'empêche pas de se faire respecter des hommes ni de gagner son indépendance, et surtout, d'être fière de son travail à l'usine et de sa communauté solidaire. Mais cette fierté, menacée dès 1968, se rompt au fil du temps, les notions de rentabilité, de courbes et de tableaux de chiffres chassant l'idée d'un combat pour une vie meilleure. |
La métallo [texte imprimé] / Catherine ECOLE-BOIVIN (1966-....), Auteur . - Montpellier : Gabelire, DL 2019 . - 437 p. : couv. ill. en coul. ; 24 cm.. - ( Gabelire Histoire vécue Corps 20) . ISBN : 978-2-37083-226-9 : 22.84€ Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Grand caractère |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Si Yvonnick a un prénom et des bras d'homme, c'est grâce à sa mère qui lui a appris à se défendre des coups. Et ces bras d'homme, Yvonnick en a bien besoin depuis que son mari, qui travaillait à J.J. Carnaud et forges de Basse-Indre, l'ancêtre d'Usinor puis d'Arcelor, n'est plus là. En acceptant de prendre sa relève à la forge, la jeune veuve et mère d'un enfant fragile, élevée dans le marais salant breton, devient métallo.
Une vie ouvrière de lutte, qui ne l'empêche pas de se faire respecter des hommes ni de gagner son indépendance, et surtout, d'être fière de son travail à l'usine et de sa communauté solidaire. Mais cette fierté, menacée dès 1968, se rompt au fil du temps, les notions de rentabilité, de courbes et de tableaux de chiffres chassant l'idée d'un combat pour une vie meilleure. |
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