Titre : |
La vie de famille |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Patrick (Belge) ROEGIERS (1947-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : Grasset |
Année de publication : |
2020 |
Importance : |
178 p. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-246-81619-5 |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
Résumé : |
« Lorsque j’ai été mis à la porte de chez mes parents le jour de mes vingt ans, vendredi 22 septembre 1967, j’aurais dû comme Salvador Dali dans la même situation me raser le crâne et placer un oursin sur le dessus de ma tête, à l’instar de Guillaume Tell posant une pomme sur le front de son fils … »
Dans ce livre incisif et percutant, allègrement écrit, après avoir attendu longtemps, avec beaucoup d’amusement et une grande sincérité, Patrick Roegiers parle pour la première fois de lui-même, de ses parents, de sa famille, de son éducation, des fracas de son adolescence et des tumultes de son enfance. Sans nostalgie mais non sans émotion, il raconte son histoire comme il l’a vécue et, surtout, telle que la reconstitue et la ressent inconsciemment la mémoire. Le portrait de sa mère, Gorgone moderne, Médée vengeresse, chargée d’une lourde hérédité et agonisant sa progéniture, est plus que saisissant. Le souvenir n'est pas le pardon. Le passé n’est jamais mort. C’est un fantasme du présent. |
La vie de famille [texte imprimé] / Patrick (Belge) ROEGIERS (1947-....), Auteur . - Paris : Grasset, 2020 . - 178 p. ; 21 cm. ISBN : 978-2-246-81619-5 Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
Résumé : |
« Lorsque j’ai été mis à la porte de chez mes parents le jour de mes vingt ans, vendredi 22 septembre 1967, j’aurais dû comme Salvador Dali dans la même situation me raser le crâne et placer un oursin sur le dessus de ma tête, à l’instar de Guillaume Tell posant une pomme sur le front de son fils … »
Dans ce livre incisif et percutant, allègrement écrit, après avoir attendu longtemps, avec beaucoup d’amusement et une grande sincérité, Patrick Roegiers parle pour la première fois de lui-même, de ses parents, de sa famille, de son éducation, des fracas de son adolescence et des tumultes de son enfance. Sans nostalgie mais non sans émotion, il raconte son histoire comme il l’a vécue et, surtout, telle que la reconstitue et la ressent inconsciemment la mémoire. Le portrait de sa mère, Gorgone moderne, Médée vengeresse, chargée d’une lourde hérédité et agonisant sa progéniture, est plus que saisissant. Le souvenir n'est pas le pardon. Le passé n’est jamais mort. C’est un fantasme du présent. |
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