Titre : |
Trois saisons d'orage |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Cécile COULON (1990-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : Viviane Hamy |
Année de publication : |
impr. 2017 |
Importance : |
265 p. |
Présentation : |
couv ill. en coul. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-87858-337-3 |
Prix : |
19,00 € |
Note générale : |
Prix des Libraires 2017 |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Trois générations confrontées à l'Histoire et au fol orgueil des hommes ayant oublié la permanence hiératique de la nature.
Saga portée par la fureur et la passion, Trois saisons d'orage peint une vision de la seconde partie du XXe siècle placée sous le signe de la fable antique. Les Trois-Gueules, " forteresse de falaises réputée infranchissable ", où elle prend racine, sont un espace où le temps est distordu, un lieu qui se resserre à mesure que le monde, autour, s'étend. Si elles happent, régulièrement, un enfant au bord de leurs pics, noient un vieillard dans leurs torrents, écrasent quelques ouvriers sous les chutes de leurs pierres, les villageois n'y peuvent rien ; mais ils l'acceptent, car le reste du temps, elles sont l'antichambre du paradis. |
Trois saisons d'orage [texte imprimé] / Cécile COULON (1990-....), Auteur . - Paris : Viviane Hamy, impr. 2017 . - 265 p. : couv ill. en coul. ; 21 cm. ISBN : 978-2-87858-337-3 : 19,00 € Prix des Libraires 2017 Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Trois générations confrontées à l'Histoire et au fol orgueil des hommes ayant oublié la permanence hiératique de la nature.
Saga portée par la fureur et la passion, Trois saisons d'orage peint une vision de la seconde partie du XXe siècle placée sous le signe de la fable antique. Les Trois-Gueules, " forteresse de falaises réputée infranchissable ", où elle prend racine, sont un espace où le temps est distordu, un lieu qui se resserre à mesure que le monde, autour, s'étend. Si elles happent, régulièrement, un enfant au bord de leurs pics, noient un vieillard dans leurs torrents, écrasent quelques ouvriers sous les chutes de leurs pierres, les villageois n'y peuvent rien ; mais ils l'acceptent, car le reste du temps, elles sont l'antichambre du paradis. |
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