Titre : |
Averroès ou le secrétaire du diable |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Gilbert SINOUÉ (1947-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : Fayard |
Année de publication : |
2017 |
Importance : |
299 p. |
Présentation : |
couv. ill. coul. |
Format : |
24 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-213-68582-3 |
Prix : |
23.45 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Né en 1126 à Cordoue, il a connu la gloire puis la disgrâce, le respect des puissants puis l’exil et la clandestinité. Il a contribué à la légende de l’Andalousie musulmane, mais il a payé au prix fort les audaces de sa pensée.
Ses idées seront tout aussi violemment condamnées par l’Église que par les théologiens musulmans qui lui reprocheront – hérésie suprême – d’oser aborder la foi avec la raison, de refuser l’aveuglement dogmatique et l’usage des textes sacrés pour le seul bénéfice de quelques-uns. Traité en paria, menacé, c’est haï de tous qu’il mourra à Marrakech, à soixante-douze ans. Mais des siècles plus tard son œuvre demeure plus vivante que jamais.
Il s’appelait Averroès. |
Averroès ou le secrétaire du diable [texte imprimé] / Gilbert SINOUÉ (1947-....), Auteur . - Paris : Fayard, 2017 . - 299 p. : couv. ill. coul. ; 24 cm. ISBN : 978-2-213-68582-3 : 23.45 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Né en 1126 à Cordoue, il a connu la gloire puis la disgrâce, le respect des puissants puis l’exil et la clandestinité. Il a contribué à la légende de l’Andalousie musulmane, mais il a payé au prix fort les audaces de sa pensée.
Ses idées seront tout aussi violemment condamnées par l’Église que par les théologiens musulmans qui lui reprocheront – hérésie suprême – d’oser aborder la foi avec la raison, de refuser l’aveuglement dogmatique et l’usage des textes sacrés pour le seul bénéfice de quelques-uns. Traité en paria, menacé, c’est haï de tous qu’il mourra à Marrakech, à soixante-douze ans. Mais des siècles plus tard son œuvre demeure plus vivante que jamais.
Il s’appelait Averroès. |
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