Titre : |
La Princesse-Maïs et autres cauchemars : nouvelles |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Joyce Carol OATES (1938-....), Auteur ; Christine AUCHE, Traducteur ; Catherine RICHARD, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Philippe Rey |
Année de publication : |
2017 |
Importance : |
378 p. |
Présentation : |
couv. ill. coul. |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-84876-621-8 |
Note générale : |
Titre original : "The corn Maiden and other nightmares" |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Américain (ame) |
Index. décimale : |
820(73)-32 Nouvelle américaine traduite de la langue anglaise. |
Résumé : |
Une plongée fascinante dans l'univers sombre et oppressant des nouvelles de Joyce Carol Oates.
Avec La Princesse-Maïs, Joyce Carol Oates captive une fois de plus le lecteur par sept récits vénéneux et intrigants. Dans le premier, Marissa, douce préadolescente à la pâle chevelure couleur maïs, disparaît un soir de chez sa mère, qui peine à l'élever seule. Tandis que cette dernière et la police retournent les environs en vain, ils sont loin de se douter que Marissa a été kidnappée par des camarades, décidées à pratiquer sur leur proie un sacrifice inspiré d'une légende indienne.
Sombres et oppressantes, les six autres nouvelles nous invitent dans la psyché de personnages troublés. Telle cette jeune veuve qui se fourvoie dans une relation dangereuse et ambiguë avec un ex-soldat abîmé par la guerre en Irak (" Helping Hands "). Ou ce malheureux chirurgien qui rate de manière spectaculaire une trépanation dans une ambiance des plus surréaliste (" Un trou dans la tête ") ; ces jumeaux aux caractères et aux physiques opposés, pris au piège de relations amour-haine (" Champignon mortel " et " Personnages-fossiles ") ; cette fillette incapable de distinguer rêve et réalité, qui refuse désespérément d'accepter l'arrivée de sa petite soeur (" Personne ne connaît mon nom "). Ou enfin cette jeune femme mettant à exécution une cruelle vengeance contre son ex-beau-père, qu'elle croit responsable du décès de sa mère (" Bersabée "). C'est bien de cauchemars qu'il s'agit, mais à la lecture pleine de délicieux frissons. |
La Princesse-Maïs et autres cauchemars : nouvelles [texte imprimé] / Joyce Carol OATES (1938-....), Auteur ; Christine AUCHE, Traducteur ; Catherine RICHARD, Traducteur . - Paris : Philippe Rey, 2017 . - 378 p. : couv. ill. coul. ; 22 cm. ISBN : 978-2-84876-621-8 Titre original : "The corn Maiden and other nightmares" Langues : Français ( fre) Langues originales : Américain ( ame)
Index. décimale : |
820(73)-32 Nouvelle américaine traduite de la langue anglaise. |
Résumé : |
Une plongée fascinante dans l'univers sombre et oppressant des nouvelles de Joyce Carol Oates.
Avec La Princesse-Maïs, Joyce Carol Oates captive une fois de plus le lecteur par sept récits vénéneux et intrigants. Dans le premier, Marissa, douce préadolescente à la pâle chevelure couleur maïs, disparaît un soir de chez sa mère, qui peine à l'élever seule. Tandis que cette dernière et la police retournent les environs en vain, ils sont loin de se douter que Marissa a été kidnappée par des camarades, décidées à pratiquer sur leur proie un sacrifice inspiré d'une légende indienne.
Sombres et oppressantes, les six autres nouvelles nous invitent dans la psyché de personnages troublés. Telle cette jeune veuve qui se fourvoie dans une relation dangereuse et ambiguë avec un ex-soldat abîmé par la guerre en Irak (" Helping Hands "). Ou ce malheureux chirurgien qui rate de manière spectaculaire une trépanation dans une ambiance des plus surréaliste (" Un trou dans la tête ") ; ces jumeaux aux caractères et aux physiques opposés, pris au piège de relations amour-haine (" Champignon mortel " et " Personnages-fossiles ") ; cette fillette incapable de distinguer rêve et réalité, qui refuse désespérément d'accepter l'arrivée de sa petite soeur (" Personne ne connaît mon nom "). Ou enfin cette jeune femme mettant à exécution une cruelle vengeance contre son ex-beau-père, qu'elle croit responsable du décès de sa mère (" Bersabée "). C'est bien de cauchemars qu'il s'agit, mais à la lecture pleine de délicieux frissons. |
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