Titre de série : |
L'armée de l'ombre, 4 |
Titre : |
Nous étions des hommes |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Olivier (Belge) SPELTENS (1971-....), Scénariste |
Editeur : |
Genève : Paquet |
Année de publication : |
2016 |
Collection : |
Mémoire 1939-1945 |
Importance : |
48 p. |
Présentation : |
toutes ill. en coul., couv. ill. |
Format : |
33 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-88890-756-5 |
Prix : |
14 € |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Guerre mondiale 1939-1945 |
Index. décimale : |
BD Bande dessinée |
Résumé : |
Février 1945. L'Allemagne n'est plus qu'un champ de ruines. Dans une dernière tentative pour arrêter les Russes, les Allemands font sauter les ponts sur l'Oder, à seulement 90 kilomètres de Berlin. Le fanatisme hitlérien pousse le peuple jusqu'à l'ultime sacrifice : même les enfants sont enrôlés dans les troupes combattantes ! C'est dans cette période apocalyptique que Kessler et son groupe tentent de préserver la dernière étincelle d'humanité qui leur reste. Dans cet univers de destruction et de folie, en quoi peuvent-ils croire encore ? Et pour beaucoup, peuvent-ils encore se dire "Nous étions des hommes" ? |
L'armée de l'ombre, 4. Nous étions des hommes [texte imprimé] / Olivier (Belge) SPELTENS (1971-....), Scénariste . - Genève : Paquet, 2016 . - 48 p. : toutes ill. en coul., couv. ill. ; 33 cm. - ( Mémoire 1939-1945) . ISBN : 978-2-88890-756-5 : 14 € Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Guerre mondiale 1939-1945 |
Index. décimale : |
BD Bande dessinée |
Résumé : |
Février 1945. L'Allemagne n'est plus qu'un champ de ruines. Dans une dernière tentative pour arrêter les Russes, les Allemands font sauter les ponts sur l'Oder, à seulement 90 kilomètres de Berlin. Le fanatisme hitlérien pousse le peuple jusqu'à l'ultime sacrifice : même les enfants sont enrôlés dans les troupes combattantes ! C'est dans cette période apocalyptique que Kessler et son groupe tentent de préserver la dernière étincelle d'humanité qui leur reste. Dans cet univers de destruction et de folie, en quoi peuvent-ils croire encore ? Et pour beaucoup, peuvent-ils encore se dire "Nous étions des hommes" ? |
|