Titre : |
Re/member |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
WELZARD, Auteur ; Jean-Baptiste FLAMIN, Traducteur |
Editeur : |
LUMEN |
Année de publication : |
2016 |
Importance : |
528 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-37102-076-4 |
Prix : |
17.40€ |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
895.6-3 Roman traduit de la langue japonaise. |
Résumé : |
Au lycée d'Ôma, une terrible légende circule parmi les élèves : la Rouge-Sang, une fillette de onze ans couverte du sang de ses victimes, hanterait les couloirs après la fin des cours. Celui qui aurait le malheur de croiser la revenante devrait, pour lui échapper, quitter l'établissement sans se retourner...
Lorsqu'une lycéenne demande à Asuka de retrouver son corps, la jeune fille pense d'abord à une plaisanterie. Jusqu'à ce que minuit sonne et qu'elle se retrouve transportée, en compagnie de cinq de ses camarades, dans les corridors déserts de l'école. Pourchassés par la créature, les six amis se font littéralement massacrer... avant de se réveiller le matin suivant comme si rien ne s'était produit ! Prisonniers d'une boucle temporelle cauchemardesque, Asuka et ses compagnons comprennent vite que pour briser la malédiction, ils vont devoir retrouver les morceaux du cadavre d'une victime de la Rouge-Sang, cachés dans tout le lycée...
Une chasse au trésor macabre est lancée : bienvenue dans le cauchemar sans fin de la Rouge-Sang... Faites-vous peur avec le nouveau thriller phénomène venu du Japon ! |
Note de contenu : |
Avis d’une ado
J’ai beaucoup aimé l’histoire avec la Rouge-Sang, aussi le fait qu’elle se retrouve chaque fois le jour de sa « mort ». On entre bel et bien dans la peur et le frisson : du genre au début de l’histoire, « va-t-elle trouver toutes les parties du corps, que va-t-il lui arriver ? » Léa, 14 ans.
Notre avis
Ce roman m’a vraiment fait penser à un film d’horreur : une légende urbaine, des jeunes qui revivent la même journée et se font poursuivre et tuer chaque nuit. L’auteur joue avec nos peurs avec brio. Sueurs froides assurées. Moi perso, je ne pouvais pas le lire le soir.
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Re/member [texte imprimé] / WELZARD, Auteur ; Jean-Baptiste FLAMIN, Traducteur . - LUMEN, 2016 . - 528 p. : couv. ill. en coul. ISBN : 978-2-37102-076-4 : 17.40€ Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
895.6-3 Roman traduit de la langue japonaise. |
Résumé : |
Au lycée d'Ôma, une terrible légende circule parmi les élèves : la Rouge-Sang, une fillette de onze ans couverte du sang de ses victimes, hanterait les couloirs après la fin des cours. Celui qui aurait le malheur de croiser la revenante devrait, pour lui échapper, quitter l'établissement sans se retourner...
Lorsqu'une lycéenne demande à Asuka de retrouver son corps, la jeune fille pense d'abord à une plaisanterie. Jusqu'à ce que minuit sonne et qu'elle se retrouve transportée, en compagnie de cinq de ses camarades, dans les corridors déserts de l'école. Pourchassés par la créature, les six amis se font littéralement massacrer... avant de se réveiller le matin suivant comme si rien ne s'était produit ! Prisonniers d'une boucle temporelle cauchemardesque, Asuka et ses compagnons comprennent vite que pour briser la malédiction, ils vont devoir retrouver les morceaux du cadavre d'une victime de la Rouge-Sang, cachés dans tout le lycée...
Une chasse au trésor macabre est lancée : bienvenue dans le cauchemar sans fin de la Rouge-Sang... Faites-vous peur avec le nouveau thriller phénomène venu du Japon ! |
Note de contenu : |
Avis d’une ado
J’ai beaucoup aimé l’histoire avec la Rouge-Sang, aussi le fait qu’elle se retrouve chaque fois le jour de sa « mort ». On entre bel et bien dans la peur et le frisson : du genre au début de l’histoire, « va-t-elle trouver toutes les parties du corps, que va-t-il lui arriver ? » Léa, 14 ans.
Notre avis
Ce roman m’a vraiment fait penser à un film d’horreur : une légende urbaine, des jeunes qui revivent la même journée et se font poursuivre et tuer chaque nuit. L’auteur joue avec nos peurs avec brio. Sueurs froides assurées. Moi perso, je ne pouvais pas le lire le soir.
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