Titre : |
Francklyn : Madagascar |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Nicolas DIGARD, Auteur ; Pascal PLISSON, Auteur |
Editeur : |
Paris : Nathan |
Année de publication : |
impr. 2015 |
Collection : |
Les chemins de l'école |
Importance : |
70 p. |
Présentation : |
ill. en coul., couv. ill. en coul. |
Format : |
19 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-09-255958-1 |
Prix : |
8 € |
Note générale : |
D'après la série "Les chemins de l'école" de France 5 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
école monde madagascar écoliers |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
C'est au Sud de Madagascar, dans le village d'Andranotakatse, que les deux jeunes frères Francklyn et Olivier parcourent chaque dimanche matin 20 kilomètres de marche pour accéder à leur école. Durant la semaine, les deux frères vivent seuls, loin de leur famille, en totale autonomie. Cette lutte pour l'éducation, déjà commencée par leur père, leur donne l'espoir d'un avenir meilleur où il ne sera pas forcément question de devenir, pour construire leur vie, un éleveur de zebu comme il l'est de coutume chez les Malgaches. |
Francklyn : Madagascar [texte imprimé] / Nicolas DIGARD, Auteur ; Pascal PLISSON, Auteur . - Paris : Nathan, impr. 2015 . - 70 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 19 cm. - ( Les chemins de l'école) . ISBN : 978-2-09-255958-1 : 8 € D'après la série "Les chemins de l'école" de France 5 Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
école monde madagascar écoliers |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
C'est au Sud de Madagascar, dans le village d'Andranotakatse, que les deux jeunes frères Francklyn et Olivier parcourent chaque dimanche matin 20 kilomètres de marche pour accéder à leur école. Durant la semaine, les deux frères vivent seuls, loin de leur famille, en totale autonomie. Cette lutte pour l'éducation, déjà commencée par leur père, leur donne l'espoir d'un avenir meilleur où il ne sera pas forcément question de devenir, pour construire leur vie, un éleveur de zebu comme il l'est de coutume chez les Malgaches. |
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