| Titre : |
Brigitte Smadja |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Sophie CHÉRER (1961-....), Auteur |
| Editeur : |
Paris : L'Ecole des loisirs |
| Année de publication : |
2003 |
| Collection : |
Mon écrivain préféré |
| Importance : |
78 p. |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Smadja, Brigitte (1955-....)
|
| Index. décimale : |
840-5 Entretien de langue française. |
| Résumé : |
Au début, elle ne voulait pas.
Elle avait lu les deux premiers livrets de la série Mon écrivain préféré consacrés à Marie-Aude Murail en 2001 et à Susie Morgenstern en 2002. Quand elle a su que le troisième nom sur la liste, c'était le sien, elle a commencé par crier : "Ah mais non, moi je ne veux pas parler de moi, je n'ai rien à dire, je n'ai pas de souvenirs, je ne me connais pas !"
Et puis, vous allez voir, c'est exactement comme a dit Camille, une élève, dans le chapitre Portrait chinois : elle s'est mise à dresser la liste de ses parents, amis, proches et connaissances, susceptibles de témoigner, de raconter une anecdote, d'écrire un mot, de prêter une photo, ou l'oreille aux questions. Elle a donné des numéros de téléphone, des fixes, des portables, des adresses partout, postales, internet, de Naples au Québec en passant par le Dauphiné, la Bretagne et le troisième arrondissement de Paris.
Et à notre première entrevue, dans un restaurant qui n'avait plus rien à manger parce qu'il était tard, après une séance de signature au Salon de Montreuil, elle a sorti de son sac un petit cahier vierge couleur de pain d'épices en disant : "C'est pour toi, pour que tu notes."
J'ai écrit sur la couverture : Brigitte raconte (pas) sa vie. Et grâce à elle, et à tous ceux qu'ils l'aiment, il s'est rempli.
Sophie Chérer |
Brigitte Smadja [texte imprimé] / Sophie CHÉRER (1961-....), Auteur . - Paris : L'Ecole des loisirs, 2003 . - 78 p.. - ( Mon écrivain préféré) . Langues : Français ( fre)
| Catégories : |
Smadja, Brigitte (1955-....)
|
| Index. décimale : |
840-5 Entretien de langue française. |
| Résumé : |
Au début, elle ne voulait pas.
Elle avait lu les deux premiers livrets de la série Mon écrivain préféré consacrés à Marie-Aude Murail en 2001 et à Susie Morgenstern en 2002. Quand elle a su que le troisième nom sur la liste, c'était le sien, elle a commencé par crier : "Ah mais non, moi je ne veux pas parler de moi, je n'ai rien à dire, je n'ai pas de souvenirs, je ne me connais pas !"
Et puis, vous allez voir, c'est exactement comme a dit Camille, une élève, dans le chapitre Portrait chinois : elle s'est mise à dresser la liste de ses parents, amis, proches et connaissances, susceptibles de témoigner, de raconter une anecdote, d'écrire un mot, de prêter une photo, ou l'oreille aux questions. Elle a donné des numéros de téléphone, des fixes, des portables, des adresses partout, postales, internet, de Naples au Québec en passant par le Dauphiné, la Bretagne et le troisième arrondissement de Paris.
Et à notre première entrevue, dans un restaurant qui n'avait plus rien à manger parce qu'il était tard, après une séance de signature au Salon de Montreuil, elle a sorti de son sac un petit cahier vierge couleur de pain d'épices en disant : "C'est pour toi, pour que tu notes."
J'ai écrit sur la couverture : Brigitte raconte (pas) sa vie. Et grâce à elle, et à tous ceux qu'ils l'aiment, il s'est rempli.
Sophie Chérer |
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840 Littérature française
Affiner la recherche Interroger des sources externesAlphonse
M. Haroun Tazieff passe le plus clair de son temps à mettre son nez dans les trous qui fument. Parfois, un volcan facétieux, profitant de ce que M. Haroun Tazieff n'est pas là, se met à péter aux quatre vents. M. Haroun Tazieff apparaît à la télévision et dit : «Ca ne m'étonne pas, je l'avais prédit.» Puis il retourne s'enfumer plus loin avec une caméra parce qu'il faut bien vivre, comme dirait M. Jacques-Yves Cousteau. (M. Cousteau est un ami de M. Tazieff. Il met son nez dans les trous qui mouillent.) Avec M. Paul-Emile Victor qui met son nez dans les trous qui gèlent ils forment un exceptionnel triumvirat, peu connu sous son nom d'apparat des «pifs nickelés».
Véritable sujet de société, la justice fréquemment mise sur le banc des accusés est au coeur des débats. Les nombreuses affaires qui émaillent l'actualité suscitent un vif intérêt chez les Français qui sont avides de comprendre les rouages de cette justice à la fois si proche et si lointaine. Philippe Harrouard, journaliste médiateur, ancien correspondant à Londres et à New York et ancien directeur-adjoint de l'information de France 2, a réuni Stéphanie Marcie, avocate pénaliste et Jean-Christophe Hullin, juge à la 10e chambre du tribunal correctionnel de Paris afin qu'ils confrontent leur point de vue. L'un et l'autre, juge et avocate, généralement considérés comme des adversaires, se livrent à une réflexion sans concession sur le fonctionnement de notre système judiciaire dont ils sont des acteurs de premier plan. Vie privée, vie publique, comment concilier les deux ? Voilà une des originalités de cette rencontre car l'avocate et le juge sont unis à la ville. Ces deux témoins proposent, en toute indépendance, un éclairage nouveau sur le quotidien de la justice bien loin des rivalités de prétoires en évoquant leurs rapports au pouvoir, aux médias, à l'argent mais aussi le malaise de la justice et les enjeux pour demain.
