Titre : |
La petite fille qui avait avalé un nuage grand comme la Tour Eiffel |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Romain PUÉRTOLAS (1975-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : Le Dilettante |
Année de publication : |
impr. 2014 |
Importance : |
252 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-84263-812-2 |
Prix : |
19 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Si tout a commencé, pour Romain Puértolas, par l'ambulation à succès, chahutée et planétaire, d'une armoire bien complète de son Fakir, tout va continuer avec la geste aérienne d'une donzelle hors norme : Providence Dupois, debout dès l'aube, flair de reine, six orteils au pied droit, factrice de profession et mère par instinct. Coincée en aérogare par la nuageuse colère d'un volcan islandais, Providence ne peut aller quérir-guérir au Maroc l'enfant malade qu'elle a adoptée : Zahera, fillette aux poumons embrumés (toujours des nuages) par la mucoviscidose. Elle tempête, trépigne et songe à l'enfant qu'elle a découverte, petite boule de charmants prodiges, lors d'une hospitalisation au Maroc. Quand soudain les dieux suscitent un génie : le maître 90, dit aussi Hué, pour qui vole qui veut, suffit d'ouvrir les bras, l'envol se prend comme un élan : hop ! Et Providence de voler, cap Maroc ! Mais si, en définitive, tout cela n'était que chimère à réacteurs, un conte odoriférant, une rêverie en altitude... Qui sait ? «le monde est un enfant qui veut voler, avant de savoir marcher» nous glisse l'artiste : dont acte, rêvons, volons, rêvons que nous volons. Lisons. |
La petite fille qui avait avalé un nuage grand comme la Tour Eiffel [texte imprimé] / Romain PUÉRTOLAS (1975-....), Auteur . - Paris : Le Dilettante, impr. 2014 . - 252 p. : couv. ill. en coul. ; 21 cm. ISBN : 978-2-84263-812-2 : 19 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Si tout a commencé, pour Romain Puértolas, par l'ambulation à succès, chahutée et planétaire, d'une armoire bien complète de son Fakir, tout va continuer avec la geste aérienne d'une donzelle hors norme : Providence Dupois, debout dès l'aube, flair de reine, six orteils au pied droit, factrice de profession et mère par instinct. Coincée en aérogare par la nuageuse colère d'un volcan islandais, Providence ne peut aller quérir-guérir au Maroc l'enfant malade qu'elle a adoptée : Zahera, fillette aux poumons embrumés (toujours des nuages) par la mucoviscidose. Elle tempête, trépigne et songe à l'enfant qu'elle a découverte, petite boule de charmants prodiges, lors d'une hospitalisation au Maroc. Quand soudain les dieux suscitent un génie : le maître 90, dit aussi Hué, pour qui vole qui veut, suffit d'ouvrir les bras, l'envol se prend comme un élan : hop ! Et Providence de voler, cap Maroc ! Mais si, en définitive, tout cela n'était que chimère à réacteurs, un conte odoriférant, une rêverie en altitude... Qui sait ? «le monde est un enfant qui veut voler, avant de savoir marcher» nous glisse l'artiste : dont acte, rêvons, volons, rêvons que nous volons. Lisons. |
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