« L’idée que l’on se fait du dessin français du XVIIe siècle a change du tout au tout ces dernières années. Il n’y a encore guère plus d’une trentaine d’années, seuls Poussin, Claude Lorrain et Callot étaient considérés comme des dessinateurs à part entière, parmi les grands maîtres du XVIIe siècle, aux côtés de Van Dyck, de Rubens, de Rembrandt, etc. Et encore s’accordait-on à rendre l’Italien, où ils avaient passé une grande partie de leur existence, comme responsable de la majeure partie de leur génie. Depuis, la mode s’est emparée de Bellange, deux livres et une exposition ont tenté de cerner l’étourdissante personnalité de dessinateur de la Fage. Et le Metropolitan Museum achète aussi bien Claude Lorrain que Boucher de Bourges, Daret que Licherie ou Saint-Igny.(…) » - Extrait du premier chapitre intitulé « L’étude critique »

« L’idée que l’on se fait du dessin français du XVIIe siècle a change du tout au tout ces dernières années. Il n’y a encore guère plus d’une trentaine d’années, seuls Poussin, Claude Lorrain et Callot étaient considérés comme des dessinateurs à part entière, parmi les grands maîtres du XVIIe siècle, aux côtés de Van Dyck, de Rubens, de Rembrandt, etc. Et encore s’accordait-on à rendre l’Italien, où ils avaient passé une grande partie de leur existence, comme responsable de la majeure partie de leur génie. Depuis, la mode s’est emparée de Bellange, deux livres et une exposition ont tenté de cerner l’étourdissante personnalité de dessinateur de la Fage. Et le Metropolitan Museum achète aussi bien Claude Lorrain que Boucher de Bourges, Daret que Licherie ou Saint-Igny.(…) » - Extrait du premier chapitre intitulé « L’étude critique »