Titre : |
La vie devant ses yeux |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Laura KASISCHKE (1961-....), Auteur ; Anne WICKE (1951?-2013), Traducteur |
Editeur : |
Paris : Librairie Générale Française |
Année de publication : |
2014 |
Collection : |
Le Livre de Poche num. 33312 |
Importance : |
327 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-253-17924-5 |
Prix : |
7,95 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
820(73)-3 Roman américain traduit de la langue anglaise. (ou roman américain de langue anglaise avec CR 820(73)-3). |
Résumé : |
Diana, la quarantaine, mariée à un professeur de philosophie et maman d’une petite Emma de 10 ans, est cette mère de famille américaine typique qui habite une belle maison, accompagne les sorties scolaires de sa fille, cuisine admirablement et enseigne le dessin. Pourtant le passé – et l'événement traumatisant qui en est au cœur – ne cesse de la hanter, par bouffées, et ces flashes sont autant de ruptures dans la narration du présent de Diana.
Il existe dans ces pages à la beauté fantomatique bien plus qu’un portrait de femme pensant avoir dissimulé son cauchemar derrière une façade brillante. Marie-Laure Delorme, Le Journal du dimanche. |
La vie devant ses yeux [texte imprimé] / Laura KASISCHKE (1961-....), Auteur ; Anne WICKE (1951?-2013), Traducteur . - Paris : Librairie Générale Française, 2014 . - 327 p.. - ( Le Livre de Poche; 33312) . ISBN : 978-2-253-17924-5 : 7,95 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
820(73)-3 Roman américain traduit de la langue anglaise. (ou roman américain de langue anglaise avec CR 820(73)-3). |
Résumé : |
Diana, la quarantaine, mariée à un professeur de philosophie et maman d’une petite Emma de 10 ans, est cette mère de famille américaine typique qui habite une belle maison, accompagne les sorties scolaires de sa fille, cuisine admirablement et enseigne le dessin. Pourtant le passé – et l'événement traumatisant qui en est au cœur – ne cesse de la hanter, par bouffées, et ces flashes sont autant de ruptures dans la narration du présent de Diana.
Il existe dans ces pages à la beauté fantomatique bien plus qu’un portrait de femme pensant avoir dissimulé son cauchemar derrière une façade brillante. Marie-Laure Delorme, Le Journal du dimanche. |
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