Titre : |
Le bourgemestre de Furnes : roman |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Georges (Belge) SIMENON (1903-1989), Auteur ; Jean-Claude PIROTTE, Préfacier, etc. ; Jacques DUBOIS, Commentateur |
Editeur : |
Arles : Actes Sud |
Année de publication : |
impr. 1992 |
Collection : |
Babel num. 12 |
Importance : |
199 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-86869-354-9 |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
Résumé : |
Rien de plus exotique, de plus étrange si vous préférez, que les circonstances ordinaires de la vie. La vie à Furnes, ou à Vierzon. Le chat ronronne, la poêle ronfle, et la pluie tombe. L'horloge qui sonne les quarts et les demies n'est jamais en retard. Les saisons se succèdent avec ponctualité. Souvent, c'est l'automne, ou l'hiver, que ça commence. Car quelque chose commence. (...) La voix de Simenon, lorsqu'elle atteint à la plus juste expresion de son registre, restitue à la perfection l'instantané du regard, l'alerte des sens. Un état de grâce, une complicité sans artifice avec les choses, l'air qu'on respire, la couleur de l'instant. |
Le bourgemestre de Furnes : roman [texte imprimé] / Georges (Belge) SIMENON (1903-1989), Auteur ; Jean-Claude PIROTTE, Préfacier, etc. ; Jacques DUBOIS, Commentateur . - Arles : Actes Sud, impr. 1992 . - 199 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Babel; 12) . ISBN : 978-2-86869-354-9 Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
Résumé : |
Rien de plus exotique, de plus étrange si vous préférez, que les circonstances ordinaires de la vie. La vie à Furnes, ou à Vierzon. Le chat ronronne, la poêle ronfle, et la pluie tombe. L'horloge qui sonne les quarts et les demies n'est jamais en retard. Les saisons se succèdent avec ponctualité. Souvent, c'est l'automne, ou l'hiver, que ça commence. Car quelque chose commence. (...) La voix de Simenon, lorsqu'elle atteint à la plus juste expresion de son registre, restitue à la perfection l'instantané du regard, l'alerte des sens. Un état de grâce, une complicité sans artifice avec les choses, l'air qu'on respire, la couleur de l'instant. |
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