Titre de série : |
Histoire universelle des armées, 3 |
Titre : |
Les Temps modernes : 1700/1914 : de Pierre le Grand à Moltke, soldats du fusil et du canon |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jacques BOUDET, Directeur de publication |
Editeur : |
Paris : Robert Laffont |
Année de publication : |
1966 |
Importance : |
303 p. |
Présentation : |
ill. en coul.;cartes;tableaux |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Armées -- 18e siècle Armées -- 19e siècle Etats-Unis -- 1775-1783 (Révolution) -- Campagnes et batailles Etats-Unis -- 1861-1865 (Guerre de Sécession) France -- 1789-1799 (Révolution) -- Campagnes et batailles France -- 1804-1814 (Empire) -- Campagnes et batailles Guerre franco-allemande (1870-1871) -- Campagnes et batailles
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Mots-clés : |
Guerre Armées Militaire Etats-Unis France Guerre de Sécession Guerre d'indépendance Campagnes de Napoléon Guerre franco-allemande |
Index. décimale : |
355(09) Histoire de l'art militaire. Histoire militaire. Histoire de la guerre. CR 355 |
Résumé : |
“Quand l’histoire serait inutile aux autres hommes, il faudrait la faire lire aux princes. Il n’y a pas de meilleur moyen de leur découvrir ce que peuvent les passions et les interêts ; les temps et les conjonctures, les bons et les mauvais conseils. »
Bossuet plaçait ces lignes en tête du « Discours sur l’histoire universelle » qu’il écrivit en 1681 pour son élève, le grand dauphin. La France était alors à l’apogée de son Grand Siècle, celui de la monarchie absolue. Le « Siècle des lumières » est proche, l’Encyclopédie commencera à paraître en 1750 et Frédéric II, qui était l’ami de Voltaire, souhaitera que s’accroisse le nombre des bénéficiaires de la culture historique. Au retour de la guerre de Sept Ans, il écrit : « Quoique l’étude de l’histoire soit proprement celle des princes, elle n’est pas moins utile aux particuliers ; c’est la chaîne des évènements de tous les siècles jusqu’à nos jours. L’homme de loi, le politique, le guerrier, en y ayant recours, apprennent la connexion que les choses présentes ont avec les choses passées… ils acquièrent une expérience prématurée. »(…) – Extrait de la préface par le Général Henry Blanc
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Histoire universelle des armées, 3. Les Temps modernes : 1700/1914 : de Pierre le Grand à Moltke, soldats du fusil et du canon [texte imprimé] / Jacques BOUDET, Directeur de publication . - Paris : Robert Laffont, 1966 . - 303 p. : ill. en coul.;cartes;tableaux. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Armées -- 18e siècle Armées -- 19e siècle Etats-Unis -- 1775-1783 (Révolution) -- Campagnes et batailles Etats-Unis -- 1861-1865 (Guerre de Sécession) France -- 1789-1799 (Révolution) -- Campagnes et batailles France -- 1804-1814 (Empire) -- Campagnes et batailles Guerre franco-allemande (1870-1871) -- Campagnes et batailles
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Mots-clés : |
Guerre Armées Militaire Etats-Unis France Guerre de Sécession Guerre d'indépendance Campagnes de Napoléon Guerre franco-allemande |
Index. décimale : |
355(09) Histoire de l'art militaire. Histoire militaire. Histoire de la guerre. CR 355 |
Résumé : |
“Quand l’histoire serait inutile aux autres hommes, il faudrait la faire lire aux princes. Il n’y a pas de meilleur moyen de leur découvrir ce que peuvent les passions et les interêts ; les temps et les conjonctures, les bons et les mauvais conseils. »
Bossuet plaçait ces lignes en tête du « Discours sur l’histoire universelle » qu’il écrivit en 1681 pour son élève, le grand dauphin. La France était alors à l’apogée de son Grand Siècle, celui de la monarchie absolue. Le « Siècle des lumières » est proche, l’Encyclopédie commencera à paraître en 1750 et Frédéric II, qui était l’ami de Voltaire, souhaitera que s’accroisse le nombre des bénéficiaires de la culture historique. Au retour de la guerre de Sept Ans, il écrit : « Quoique l’étude de l’histoire soit proprement celle des princes, elle n’est pas moins utile aux particuliers ; c’est la chaîne des évènements de tous les siècles jusqu’à nos jours. L’homme de loi, le politique, le guerrier, en y ayant recours, apprennent la connexion que les choses présentes ont avec les choses passées… ils acquièrent une expérience prématurée. »(…) – Extrait de la préface par le Général Henry Blanc
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