Titre : |
Les visages : tome 1 |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jesse KELLERMAN (1978-....), Auteur ; Julie SIBONY (1973-....), Traducteur |
Editeur : |
Cergy-Pontoise : À vue d'oeil |
Année de publication : |
2010 |
Importance : |
747 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
24 cm |
Prix : |
44 € les deux tomes |
Note générale : |
Trad. de: "The genius" |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Thriller |
Index. décimale : |
820(73)-3 Roman américain traduit de la langue anglaise. (ou roman américain de langue anglaise avec CR 820(73)-3). |
Résumé : |
Lorsque Ethan Muller, propriétaire d’une galerie, met la main sur une série de dessins d’une qualité exceptionnelle, il sait qu’il va enfin pouvoir se faire un nom dans l’univers impitoyable des marchands d’art. Leur mystérieux auteur, Victor Cracke, a disparu corps et âme, après avoir vécu reclus près de quarante ans à New York. Dès que les dessins sont rendus publics, la critique est unanime : c’est le travail d’un génie. La mécanique se dérègle le jour où un flic à la retraite reconnaît sur certains portraits les visages d’enfants victimes, des années plus tôt, d’un mystérieux tueur en série.
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Les visages : tome 1 [texte imprimé] / Jesse KELLERMAN (1978-....), Auteur ; Julie SIBONY (1973-....), Traducteur . - Cergy-Pontoise : À vue d'oeil, 2010 . - 747 p. : couv. ill. ; 24 cm. 44 € les deux tomes Trad. de: "The genius" Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Thriller |
Index. décimale : |
820(73)-3 Roman américain traduit de la langue anglaise. (ou roman américain de langue anglaise avec CR 820(73)-3). |
Résumé : |
Lorsque Ethan Muller, propriétaire d’une galerie, met la main sur une série de dessins d’une qualité exceptionnelle, il sait qu’il va enfin pouvoir se faire un nom dans l’univers impitoyable des marchands d’art. Leur mystérieux auteur, Victor Cracke, a disparu corps et âme, après avoir vécu reclus près de quarante ans à New York. Dès que les dessins sont rendus publics, la critique est unanime : c’est le travail d’un génie. La mécanique se dérègle le jour où un flic à la retraite reconnaît sur certains portraits les visages d’enfants victimes, des années plus tôt, d’un mystérieux tueur en série.
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