Titre : |
La malédiction Hilliker : Mon obsession des femmes |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
James ELLROY (1948-....), Auteur ; Jean-Paul GRATIAS, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Rivages |
Année de publication : |
2011 |
Importance : |
277 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7436-2170-4 |
Prix : |
24,45 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
820(73)-94 Mémoires. Souvenirs traduits de l'américain |
Résumé : |
« Ce livre m’a dévasté », dit James Ellroy à propos de La Malédiction Hilliker qu’il définit comme « un manifeste romantique ». De la mère aux épouses et aux amantes, toute l’œuvre d’Ellroy procède du féminin et trouve sa source dans cette « malédiction » sur laquelle il s’expliquait déjà dans Ma part d’ombre : « Ma mère m’a donné ce cadeau et cette malédiction : l’obsession ». C’est précisément le cœur de ce nouveau livre : l’obsession des femmes, sans lesquelles il se sent « désincarné ». La phrase d’ouverture, « Pour que les femmes m’aiment », énonce d’emblée le principe fondateur de la vie émotionnelle et créatrice d’Ellroy. Une phrase déjà prononcée par Don Crutchfied, double fictif de l’auteur, dans Underworld USA.
En six mouvements — « Elle », « Elles », « Cougar », « La Déesse », « La Pluie », « Elle » —Ellroy revisite les moments clés de ses relations avec les femmes, à commencer par la première d’entre toutes, sa mère Geneva Hilliker, objet de la « malédiction » qu’enfant il lança contre elle, souhaitant la voir morte. Trois mois plus tard, elle était assassinée. Après avoir vainement tenté de retrouver la trace de son meurtrier dans Ma part d’ombre, il entreprend ici une autre forme d’exorcisme : annuler la malédiction à travers la quête des autres femmes, passer de « Elle » à « Elles ». Les autres, ce sont les adolescentes sur lesquelles il fantasmait dans sa jeunesse, mais aussi des femmes mûres, réelles ou imaginées ; celle qui exerça une influence majeure sur lui, la journaliste Helen Knode, alias Cougar, puis « La Déesse » Joan, inspiratrice du personnage éponyme d’Underworld USA, et enfin, l’autre « Elle », la femme qui partage sa vie aujourd’hui. La boucle est bouclée. |
La malédiction Hilliker : Mon obsession des femmes [texte imprimé] / James ELLROY (1948-....), Auteur ; Jean-Paul GRATIAS, Traducteur . - Paris : Rivages, 2011 . - 277 p. ISBN : 978-2-7436-2170-4 : 24,45 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
820(73)-94 Mémoires. Souvenirs traduits de l'américain |
Résumé : |
« Ce livre m’a dévasté », dit James Ellroy à propos de La Malédiction Hilliker qu’il définit comme « un manifeste romantique ». De la mère aux épouses et aux amantes, toute l’œuvre d’Ellroy procède du féminin et trouve sa source dans cette « malédiction » sur laquelle il s’expliquait déjà dans Ma part d’ombre : « Ma mère m’a donné ce cadeau et cette malédiction : l’obsession ». C’est précisément le cœur de ce nouveau livre : l’obsession des femmes, sans lesquelles il se sent « désincarné ». La phrase d’ouverture, « Pour que les femmes m’aiment », énonce d’emblée le principe fondateur de la vie émotionnelle et créatrice d’Ellroy. Une phrase déjà prononcée par Don Crutchfied, double fictif de l’auteur, dans Underworld USA.
En six mouvements — « Elle », « Elles », « Cougar », « La Déesse », « La Pluie », « Elle » —Ellroy revisite les moments clés de ses relations avec les femmes, à commencer par la première d’entre toutes, sa mère Geneva Hilliker, objet de la « malédiction » qu’enfant il lança contre elle, souhaitant la voir morte. Trois mois plus tard, elle était assassinée. Après avoir vainement tenté de retrouver la trace de son meurtrier dans Ma part d’ombre, il entreprend ici une autre forme d’exorcisme : annuler la malédiction à travers la quête des autres femmes, passer de « Elle » à « Elles ». Les autres, ce sont les adolescentes sur lesquelles il fantasmait dans sa jeunesse, mais aussi des femmes mûres, réelles ou imaginées ; celle qui exerça une influence majeure sur lui, la journaliste Helen Knode, alias Cougar, puis « La Déesse » Joan, inspiratrice du personnage éponyme d’Underworld USA, et enfin, l’autre « Elle », la femme qui partage sa vie aujourd’hui. La boucle est bouclée. |
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