Titre : |
La philosophie médiévale |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Alain de LIBERA, Auteur |
Mention d'édition : |
5e éd. |
Editeur : |
Paris : PUF (Presses Universitaires de France) |
Année de publication : |
2001 |
Collection : |
Que sais-je ? num. 1044 |
Importance : |
127 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-13-051580-7 |
Prix : |
9 € |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Philosophie médiévale
|
Mots-clés : |
Philosophie Moyen-Age |
Index. décimale : |
1(09) Histoire de la philosophie. Philosophie sous forme d'histoire. |
Résumé : |
Qu'est-ce que la philosophie médiévale ? Evoquant soit l'âge idéal du magistère intellectuel de l'Eglise, soit l'époque malheureuse d'un long et laborieux sacrifice de la pensée, rappelant pour les uns les fastes équivoques d'une clarté à jamais perdue, ou pour les autres la manifestation la plus évidente des ténèbres, de l'obscurantisme, mille ans de pensée, de réflexion, d'innovations et de travail dorment dans le silencieux inter-règne qui sépare l'Antiquité de la Renaissance. Autrement dit, c'est une transition de dix siècles, interminable parenthèse entre Aristote et Descartes, au cours de laquelle "l'autorité des pères" et des "Docteurs" règne sans partage, où la foi l'emporte sur la raison, le langage sur l'expérience, l'abstrait sur le concret, les mots sur les choses. |
Note de contenu : |
Bibliogr. p.125-126 |
La philosophie médiévale [texte imprimé] / Alain de LIBERA, Auteur . - 5e éd. . - Paris : PUF (Presses Universitaires de France), 2001 . - 127 p. : couv. ill. ; 18 cm. - ( Que sais-je ?; 1044) . ISBN : 978-2-13-051580-7 : 9 € Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Philosophie médiévale
|
Mots-clés : |
Philosophie Moyen-Age |
Index. décimale : |
1(09) Histoire de la philosophie. Philosophie sous forme d'histoire. |
Résumé : |
Qu'est-ce que la philosophie médiévale ? Evoquant soit l'âge idéal du magistère intellectuel de l'Eglise, soit l'époque malheureuse d'un long et laborieux sacrifice de la pensée, rappelant pour les uns les fastes équivoques d'une clarté à jamais perdue, ou pour les autres la manifestation la plus évidente des ténèbres, de l'obscurantisme, mille ans de pensée, de réflexion, d'innovations et de travail dorment dans le silencieux inter-règne qui sépare l'Antiquité de la Renaissance. Autrement dit, c'est une transition de dix siècles, interminable parenthèse entre Aristote et Descartes, au cours de laquelle "l'autorité des pères" et des "Docteurs" règne sans partage, où la foi l'emporte sur la raison, le langage sur l'expérience, l'abstrait sur le concret, les mots sur les choses. |
Note de contenu : |
Bibliogr. p.125-126 |
|