Titre : |
Marie, Adeline, Antonin |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Christian SIGNOL (1947-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : Robert Laffont |
Année de publication : |
2009 |
Importance : |
525 p. |
Format : |
24 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-221-11454-4 |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Marie. Abandonnée le jour de sa naissance parmi les brebis, et recueillie par un pâtre, elle passera sa vie à garder les bêtes sur le rude causse du Quercy. Adeline. Fille d'une famille de treize enfants, obligée très tôt de travailler dans les champs, puis servante et cuisinière, elle verra son destin ballotté entre les enfants, les saisons, les guerres... Antonin. Enfant du causse de Martel, il fut lui aussi de ces paysans Qui travaillaient de leurs mains depuis l'aube jusqu'à la nuit, de ceux Qui portèrent en eux, jusqu'au bout, les valeurs essentielles sur lesquelles ont vécu nos campagnes pendant des milliers d'années. " À l'époque où j'ai écrit ces trois livres, la civilisation rurale n'avait pas encore été anéantie par la civilisation urbaine, Qui a fini par la recouvrir d'une chape de plomb. C'est peut-être parce Que Marie, Adeline et Antonin savaient " Que le pain a une saveur, le vent un parfum et la vie un sens ", Qu'ils sont devenus précieux aux hommes et aux femmes d'aujourd'hui. |
Marie, Adeline, Antonin [texte imprimé] / Christian SIGNOL (1947-....), Auteur . - Paris : Robert Laffont, 2009 . - 525 p. ; 24 cm. ISBN : 978-2-221-11454-4 Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Marie. Abandonnée le jour de sa naissance parmi les brebis, et recueillie par un pâtre, elle passera sa vie à garder les bêtes sur le rude causse du Quercy. Adeline. Fille d'une famille de treize enfants, obligée très tôt de travailler dans les champs, puis servante et cuisinière, elle verra son destin ballotté entre les enfants, les saisons, les guerres... Antonin. Enfant du causse de Martel, il fut lui aussi de ces paysans Qui travaillaient de leurs mains depuis l'aube jusqu'à la nuit, de ceux Qui portèrent en eux, jusqu'au bout, les valeurs essentielles sur lesquelles ont vécu nos campagnes pendant des milliers d'années. " À l'époque où j'ai écrit ces trois livres, la civilisation rurale n'avait pas encore été anéantie par la civilisation urbaine, Qui a fini par la recouvrir d'une chape de plomb. C'est peut-être parce Que Marie, Adeline et Antonin savaient " Que le pain a une saveur, le vent un parfum et la vie un sens ", Qu'ils sont devenus précieux aux hommes et aux femmes d'aujourd'hui. |
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