Titre : |
Le vilain petit canard |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Hans Christian ANDERSEN (1805-1875), Auteur ; Delphine GRENIER (1965-....), Illustrateur ; David SOLDI (1819-1884), Traducteur |
Editeur : |
Paris : Didier jeunesse |
Année de publication : |
2005 |
Importance : |
[non paginé] |
Présentation : |
ill. coul. |
Format : |
26 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-278-05473-2 |
Prix : |
14.45 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-34 Conte de langue française. |
Résumé : |
Un soir que le soleil se couchait glorieux, toute une foule de grands oiseaux superbes sortit des buissons ; le canet n’en avait jamais vu de semblables : ils étaient d’une blancheur éblouissante, ils avaient le cou long et souple ; c’étaient des cygnes. Le son de leur voix était tout particulier : ils étendirent leurs longues ailes éclatantes pour aller loin de cette contrée chercher dans les pays chauds des lacs toujours ouverts. Ils montaient si haut, si haut, que le vilain petit canard en était étrangement affecté ; il tourna dans l’eau comme une roue, il dressa le cou, le tendit en l’air vers les cygnes voyageurs et poussa un cri si perçant et si singulier qu’il se fit peur à lui-même... |
Le vilain petit canard [texte imprimé] / Hans Christian ANDERSEN (1805-1875), Auteur ; Delphine GRENIER (1965-....), Illustrateur ; David SOLDI (1819-1884), Traducteur . - Paris : Didier jeunesse, 2005 . - [non paginé] : ill. coul. ; 26 cm. ISBN : 978-2-278-05473-2 : 14.45 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-34 Conte de langue française. |
Résumé : |
Un soir que le soleil se couchait glorieux, toute une foule de grands oiseaux superbes sortit des buissons ; le canet n’en avait jamais vu de semblables : ils étaient d’une blancheur éblouissante, ils avaient le cou long et souple ; c’étaient des cygnes. Le son de leur voix était tout particulier : ils étendirent leurs longues ailes éclatantes pour aller loin de cette contrée chercher dans les pays chauds des lacs toujours ouverts. Ils montaient si haut, si haut, que le vilain petit canard en était étrangement affecté ; il tourna dans l’eau comme une roue, il dressa le cou, le tendit en l’air vers les cygnes voyageurs et poussa un cri si perçant et si singulier qu’il se fit peur à lui-même... |
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