Titre : |
Veronika décide de mourir |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Paulo COELHO (1947-....), Auteur ; Françoise MARCHAND-SAUVAGNARGUES, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Librairie Générale Française |
Année de publication : |
2002 |
Collection : |
Le Livre de Poche num. 15227 |
Importance : |
287 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-253-15227-9 |
Note générale : |
Trad. de : "Veronika decide morrer" |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Bresilien (brz) |
Mots-clés : |
LIBERTE INDIVIDU FOLIE SUICIDE |
Index. décimale : |
869.0(81)-3 Roman traduit de la langue portugaise du Brésil. |
Résumé : |
Veronika, jeune et jolie Slovène, semble avoir tout ce qu'elle peut souhaiter dans la vie. Pourtant, elle n'est pas heureuse. Le 21 novembre 1997, elle décide de mourir. Sa tentative de suicide la conduit à l'hôpital psychiatrique de Villete où elle côtoie de véritables fous, mais aussi une population apparemment normale qui semble s'être réfugiée derrière les hauts murs de l'asile par peur de l'inconnu, désir de sécurité ou lassitude d'une existence routinière. Là, Veronika comprend que, à chaque minute de notre existence, nous avons le choix entre vivre et renoncer et que, pour se sentir pleinement vivante, elle devra reconnaître la part de folie qu'elle porte en elle. |
Veronika décide de mourir [texte imprimé] / Paulo COELHO (1947-....), Auteur ; Françoise MARCHAND-SAUVAGNARGUES, Traducteur . - Paris : Librairie Générale Française, 2002 . - 287 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Le Livre de Poche; 15227) . ISBN : 978-2-253-15227-9 Trad. de : "Veronika decide morrer" Langues : Français ( fre) Langues originales : Bresilien ( brz)
Mots-clés : |
LIBERTE INDIVIDU FOLIE SUICIDE |
Index. décimale : |
869.0(81)-3 Roman traduit de la langue portugaise du Brésil. |
Résumé : |
Veronika, jeune et jolie Slovène, semble avoir tout ce qu'elle peut souhaiter dans la vie. Pourtant, elle n'est pas heureuse. Le 21 novembre 1997, elle décide de mourir. Sa tentative de suicide la conduit à l'hôpital psychiatrique de Villete où elle côtoie de véritables fous, mais aussi une population apparemment normale qui semble s'être réfugiée derrière les hauts murs de l'asile par peur de l'inconnu, désir de sécurité ou lassitude d'une existence routinière. Là, Veronika comprend que, à chaque minute de notre existence, nous avons le choix entre vivre et renoncer et que, pour se sentir pleinement vivante, elle devra reconnaître la part de folie qu'elle porte en elle. |
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