Titre de série : |
Erlendur Sveinsson, 5 |
Titre : |
La voix : roman |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
ARNALDUR INDRIDASON (1961-....), Auteur ; Eric BOURY (1967-....), Traducteur |
Editeur : |
Paris : Seuil |
Année de publication : |
DL 2008 |
Collection : |
Points . policier num. P1831 |
Importance : |
400 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7578-0725-5 |
Prix : |
8.29 € |
Note générale : |
Trad. de : "Röddin" |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Islandais (ice) |
Index. décimale : |
839.59-3 Roman traduit de la langue islandaise. |
Résumé : |
Elinborg les attendait à l'hôtel. Un imposant arbre de Noël trônait dans le hall et partout, il y avait des décorations, des sapins et des boules scintillantes. D'invisibles haut-parleurs entonnaient le Douce nuit, sainte nuit. De grands autobus étaient garés devant l'hôtel et leurs passagers s'attroupaient à la réception. C'étaient des touristes étrangers venus passer les fêtes de Noël et du nouvel an en Islande parce que, dans leur esprit, l'Islande était ce fascinant pays où l'aventure est au coin de la rue. Ils venaient à peine d'atterrir qu'un grand nombre d'entre eux semblait déjà avoir fait l'acquisition de pull-overs islandais. Tout excités, ils procédaient aux formalités d'enregistrement dans cette étrange contrée de l'hiver. Erlendur balaya les flocons de son imperméable. Sigurdur Oli parcourut le hall du regard et repéra Elinborg à côté de l'ascenseur. Il donna un coup de coude à Erlendur et ils se dirigèrent vers elle. Elle avait déjà examiné la scène du crime. Les policiers arrivés en premier sur les lieux avaient bien pris garde à ce que rien ne soit déplacé. Le directeur de l'hôtel les pria d'agir avec autant de discrétion que possible. C'étaient les termes qu'il avait employés au téléphone. Il s'agissait d'un hôtel et le succès des hôtels dépend de leur réputation. Il leur demanda donc de prendre ce fait en compte. C'est pourquoi il n'y avait ni sirènes au-dehors, ni policiers en uniforme qui s'engouffraient au pas de course dans le hall. Le directeur avait précisé qu'il ne fallait sous aucun prétexte éveiller l'inquiétude dans l'esprit des clients de l'hôtel. Il ne fallait pas que l'Islande devienne trop fascinante ni qu'elle offre trop d'aventure. |
Erlendur Sveinsson, 5. La voix : roman [texte imprimé] / ARNALDUR INDRIDASON (1961-....), Auteur ; Eric BOURY (1967-....), Traducteur . - Paris : Seuil, DL 2008 . - 400 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Points . policier; P1831) . ISBN : 978-2-7578-0725-5 : 8.29 € Trad. de : "Röddin" Langues : Français ( fre) Langues originales : Islandais ( ice)
Index. décimale : |
839.59-3 Roman traduit de la langue islandaise. |
Résumé : |
Elinborg les attendait à l'hôtel. Un imposant arbre de Noël trônait dans le hall et partout, il y avait des décorations, des sapins et des boules scintillantes. D'invisibles haut-parleurs entonnaient le Douce nuit, sainte nuit. De grands autobus étaient garés devant l'hôtel et leurs passagers s'attroupaient à la réception. C'étaient des touristes étrangers venus passer les fêtes de Noël et du nouvel an en Islande parce que, dans leur esprit, l'Islande était ce fascinant pays où l'aventure est au coin de la rue. Ils venaient à peine d'atterrir qu'un grand nombre d'entre eux semblait déjà avoir fait l'acquisition de pull-overs islandais. Tout excités, ils procédaient aux formalités d'enregistrement dans cette étrange contrée de l'hiver. Erlendur balaya les flocons de son imperméable. Sigurdur Oli parcourut le hall du regard et repéra Elinborg à côté de l'ascenseur. Il donna un coup de coude à Erlendur et ils se dirigèrent vers elle. Elle avait déjà examiné la scène du crime. Les policiers arrivés en premier sur les lieux avaient bien pris garde à ce que rien ne soit déplacé. Le directeur de l'hôtel les pria d'agir avec autant de discrétion que possible. C'étaient les termes qu'il avait employés au téléphone. Il s'agissait d'un hôtel et le succès des hôtels dépend de leur réputation. Il leur demanda donc de prendre ce fait en compte. C'est pourquoi il n'y avait ni sirènes au-dehors, ni policiers en uniforme qui s'engouffraient au pas de course dans le hall. Le directeur avait précisé qu'il ne fallait sous aucun prétexte éveiller l'inquiétude dans l'esprit des clients de l'hôtel. Il ne fallait pas que l'Islande devienne trop fascinante ni qu'elle offre trop d'aventure. |
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