Titre : |
L'art Russe. Tome 1 : l'art gréco-scythe / le Moyen Age à kiev et Novgorod |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Louis REAU, Auteur |
Editeur : |
Verviers : Gérard & Cie |
Année de publication : |
1968 |
Collection : |
Marabout Université num. 162 |
Prix : |
0.00 |
Note générale : |
Index |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
ART GRECO-SCYTHE ICONE KIEV NOVGOROD RUSSE SCYTHE |
Index. décimale : |
7(47) Arts en Russie. CR 7(4) |
Résumé : |
"Bien que la Russie soit considérée par les géographes comme faisant partie intégrante de l'Europe et que les Slaves appartiennent, au même titre que les Latins et les Germains, à la famille indo-européenne, il n'est pas paradoxal de soutenir que la civilisation russe, dans son ensemble, nous est restée plus étrangère que certaines civilisations asiatiques du Proche ou de l'Extrême-Orient. L'icone russe est certainement moins connue que la miniature persane, la porcelaine chinoise ou l'estampe japonaise. Pour ne parler que de la France, son initiation à l'art et à la pensée russes a été essentiellement capricieusen décousue, désordonnée et fragmentaire. Depuis les efforts du peintre-graveur Jean-Baptise Le Prince, qui découvrit vers le milieu du XVIIIe siècle l'exotisme russe et tenta sans grand succès de substituer la mode des "russeries" à celle des "turqueries" et des "chinoiseries", nous nous sommes pris tour à tour d'engouements passionnées et passagers pour tel ou tel aspect de la vie russe, sans jamais nous astreindre à un plan d'exploration systématique.(...) - Extrait de l'introduction |
L'art Russe. Tome 1 : l'art gréco-scythe / le Moyen Age à kiev et Novgorod [texte imprimé] / Louis REAU, Auteur . - Verviers : Gérard & Cie, 1968. - ( Marabout Université; 162) . 0.00 Index Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
ART GRECO-SCYTHE ICONE KIEV NOVGOROD RUSSE SCYTHE |
Index. décimale : |
7(47) Arts en Russie. CR 7(4) |
Résumé : |
"Bien que la Russie soit considérée par les géographes comme faisant partie intégrante de l'Europe et que les Slaves appartiennent, au même titre que les Latins et les Germains, à la famille indo-européenne, il n'est pas paradoxal de soutenir que la civilisation russe, dans son ensemble, nous est restée plus étrangère que certaines civilisations asiatiques du Proche ou de l'Extrême-Orient. L'icone russe est certainement moins connue que la miniature persane, la porcelaine chinoise ou l'estampe japonaise. Pour ne parler que de la France, son initiation à l'art et à la pensée russes a été essentiellement capricieusen décousue, désordonnée et fragmentaire. Depuis les efforts du peintre-graveur Jean-Baptise Le Prince, qui découvrit vers le milieu du XVIIIe siècle l'exotisme russe et tenta sans grand succès de substituer la mode des "russeries" à celle des "turqueries" et des "chinoiseries", nous nous sommes pris tour à tour d'engouements passionnées et passagers pour tel ou tel aspect de la vie russe, sans jamais nous astreindre à un plan d'exploration systématique.(...) - Extrait de l'introduction |
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