Titre : |
Le décrochage scolaire |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Pierre-Yves BERNARD (1957-....), Auteur |
Mention d'édition : |
2e éd. |
Editeur : |
Paris : PUF (Presses Universitaires de France) |
Année de publication : |
2013 |
Collection : |
Que sais-je ? num. 3928 |
Importance : |
127 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-13-062032-7 |
Prix : |
9 € |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Abandon des études -- France -- 1990-.... Sociologie de l'éducation
|
Mots-clés : |
décrochage scolaire |
Index. décimale : |
371.212.8 Renvoi, exclusion de l'école. Renoncement de l'élève. CR 371.2 |
Résumé : |
Depuis quelques décennies, le système français qui assure le financement du cinéma n’a pas changé ; pas plus dans ses moyens que dans ses méthodes. Même s’ils ne sont pas aussi fastueux que ceux de Crésus, notre cinéma n’en dispose pas moins de moyens importants, notamment du fait des obligations légales imposées aux chaînes de télévision. En sachant le paradoxe est inquiétant qu’elles financent ainsi le tournage de films sans les avoir choisis mais sans avoir l’obligation – heureusement – de les mettre à leurs programmes. Au surplus, le financement des films français est sanctuarisé puisqu’il a obtenu – au niveau international– de bénéficier du statut d’exception culturelle. Seul au monde. Mais qui se soucie des contreparties à accepter pour une telle entorse aux règles des traités internationaux ? |
Note de contenu : |
Bibliogr. |
Le décrochage scolaire [texte imprimé] / Pierre-Yves BERNARD (1957-....), Auteur . - 2e éd. . - Paris : PUF (Presses Universitaires de France), 2013 . - 127 p.. - ( Que sais-je ?; 3928) . ISBN : 978-2-13-062032-7 : 9 € Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Abandon des études -- France -- 1990-.... Sociologie de l'éducation
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Mots-clés : |
décrochage scolaire |
Index. décimale : |
371.212.8 Renvoi, exclusion de l'école. Renoncement de l'élève. CR 371.2 |
Résumé : |
Depuis quelques décennies, le système français qui assure le financement du cinéma n’a pas changé ; pas plus dans ses moyens que dans ses méthodes. Même s’ils ne sont pas aussi fastueux que ceux de Crésus, notre cinéma n’en dispose pas moins de moyens importants, notamment du fait des obligations légales imposées aux chaînes de télévision. En sachant le paradoxe est inquiétant qu’elles financent ainsi le tournage de films sans les avoir choisis mais sans avoir l’obligation – heureusement – de les mettre à leurs programmes. Au surplus, le financement des films français est sanctuarisé puisqu’il a obtenu – au niveau international– de bénéficier du statut d’exception culturelle. Seul au monde. Mais qui se soucie des contreparties à accepter pour une telle entorse aux règles des traités internationaux ? |
Note de contenu : |
Bibliogr. |
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