| Titre : |
Le testament d'un cancre : roman |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Bernard (Belge) GHEUR (1945-....), Auteur belge ; François TRUFFAUT, Préfacier, etc. |
| Editeur : |
Paris : Albin Michel |
| Année de publication : |
1970 |
| Collection : |
la vague |
| Importance : |
185 p. |
| Format : |
19 cm |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Ecrivains belges de langue française -- 20e siècle
|
| Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
| Résumé : |
D'où vient le grand désarroi où se trouve plongé Jean-Marc à quinze ans ? Alors que ses camarades et lui discutent entre eux à perte de vue, pourquoi opposent-ils un tel mutisme aux adultes ? Le testament d'un cancre nous fait entrer dans le secret de cet âge à la fois tragique et privilégié. Ce livre dresse un décor familier, qui nous rappellera à tous quelque chose... La vie de collège, rythmée par la cloche menaçante ou libératrice ; le professeur chahuté, et celui qui terrifie ; le premier de classe, le faux malade ; et puis, l'école voisine, l'école de filles, zone dangereuse où un regard trop appuyé suffit à déclencher un grand rêve amoureux. |
Le testament d'un cancre : roman [texte imprimé] / Bernard (Belge) GHEUR (1945-....), Auteur belge ; François TRUFFAUT, Préfacier, etc. . - Paris : Albin Michel, 1970 . - 185 p. ; 19 cm. - ( la vague) . Langues : Français ( fre)
| Catégories : |
Ecrivains belges de langue française -- 20e siècle
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| Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
| Résumé : |
D'où vient le grand désarroi où se trouve plongé Jean-Marc à quinze ans ? Alors que ses camarades et lui discutent entre eux à perte de vue, pourquoi opposent-ils un tel mutisme aux adultes ? Le testament d'un cancre nous fait entrer dans le secret de cet âge à la fois tragique et privilégié. Ce livre dresse un décor familier, qui nous rappellera à tous quelque chose... La vie de collège, rythmée par la cloche menaçante ou libératrice ; le professeur chahuté, et celui qui terrifie ; le premier de classe, le faux malade ; et puis, l'école voisine, l'école de filles, zone dangereuse où un regard trop appuyé suffit à déclencher un grand rêve amoureux. |
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