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Collages et photomontages / Caroline LARROCHE
Titre : Collages et photomontages : découper-coller, tout un art ! Type de document : texte imprimé Auteurs : Caroline LARROCHE (1961-....), Auteur Editeur : Paris : Palette... Année de publication : DL 2014 Collection : L'Art et la manière Importance : 31 p. Présentation : ill. en coul.; couv. ill. en coul. Format : 29 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35832-164-8 Prix : 18,00 € Langues : Français (fre) Catégories : Collage (art) -- Ouvrages pour la jeunesse Mots-clés : Collage Photo-montage Art abstrait Expressionnisme Index. décimale : 75.037 Transition entre l'expressionnisme et l'art abstrait Résumé : L'Art et la manière est l'une des toutes premières collections de monographies destinée à la jeunesse. Chaque ouvrage aborde un artiste ou un mouvement artistique de manière claire et ludique, en allant toujours à l'essentiel, et propose aux jeunes lecteurs, dès l'âge de huit ans, une approche sensible et concrète de l'art. En 1912 et trois coups de ciseaux, le collage fait une entrée tonitruante dans l'art lorsque Braque et Picasso intègrent dans leurs oeuvres cubistes des papiers collés, articles de journaux, étiquettes, cartes de visite ou papier peint. En s'offrant de vrais morceaux de réalité, le procédé défie les règles de l'art et séduit d'emblée les artistes. Dès lors, le collage et le photomontage vont accompagner toutes les avant-gardes du XXe siècle : futurisme, dadaïsme et surréalisme, pop art, nouveau réalisme et figuration narrative. Tous prélèvent, collent et assemblent leur part de réalité pour un autre regard, entre humour et poésie, effets de matière et jeux de hasard, petits riens et grands messages !
Collages et photomontages : découper-coller, tout un art ! [texte imprimé] / Caroline LARROCHE (1961-....), Auteur . - Paris : Palette..., DL 2014 . - 31 p. : ill. en coul.; couv. ill. en coul. ; 29 cm. - (L'Art et la manière) .
ISBN : 978-2-35832-164-8 : 18,00 €
Langues : Français (fre)
Catégories : Collage (art) -- Ouvrages pour la jeunesse Mots-clés : Collage Photo-montage Art abstrait Expressionnisme Index. décimale : 75.037 Transition entre l'expressionnisme et l'art abstrait Résumé : L'Art et la manière est l'une des toutes premières collections de monographies destinée à la jeunesse. Chaque ouvrage aborde un artiste ou un mouvement artistique de manière claire et ludique, en allant toujours à l'essentiel, et propose aux jeunes lecteurs, dès l'âge de huit ans, une approche sensible et concrète de l'art. En 1912 et trois coups de ciseaux, le collage fait une entrée tonitruante dans l'art lorsque Braque et Picasso intègrent dans leurs oeuvres cubistes des papiers collés, articles de journaux, étiquettes, cartes de visite ou papier peint. En s'offrant de vrais morceaux de réalité, le procédé défie les règles de l'art et séduit d'emblée les artistes. Dès lors, le collage et le photomontage vont accompagner toutes les avant-gardes du XXe siècle : futurisme, dadaïsme et surréalisme, pop art, nouveau réalisme et figuration narrative. Tous prélèvent, collent et assemblent leur part de réalité pour un autre regard, entre humour et poésie, effets de matière et jeux de hasard, petits riens et grands messages !
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 410000082431 75.037 Livre documentaire Jardin perdu Jeunesse Document en bon état Disponible Kisling
Titre : Kisling Type de document : texte imprimé Editeur : Bez-et-esparon : Etudes & Communication Année de publication : 2008 Importance : 229 p. Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 29 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-911722-54-7 Prix : 42 € Note générale : Exposition du 14/06/2008 au 2/11/2008 au Musée de Lodève Langues : Français (fre) Catégories : Kisling, Moïse (1891-1953) -- Catalogues d'exposition Mots-clés : kisling art polonais peinture XXe siècle Index. décimale : 75.037 Transition entre l'expressionnisme et l'art abstrait Résumé : Extrait de l'introduction de Maïthé Vallès-Bled, Conservateur en chef du Musée de Lodève :
Méconnu aujourd'hui après avoir été de son vivant un des artistes les plus célèbres de l'Ecole de Paris, Kisling mérite à bien des égards de voir son oeuvre reconsidéré en ce qu'il eut de particulier. Dans sa préoccupation incessante de retour à la grande tradition de la peinture, on doit lui reconnaître d'avoir inventé une esthétique singulière qui, après avoir intégré les apports de la modernité, mêla l'observation des primitifs flamands et italiens, celle du classicisme d'Ingres - notamment de ses portraits les plus primitifs - à la naïveté du Douanier Rousseau, et joignit à l'épurement de la forme une palette riche dont l'éclat est soutenu par une maîtrise technique qui doit être soulignée.
Lorsque Kisling arrive à Paris en 1910, ses premières oeuvres sont imprégnées de l'influence française. Il a reçu, à l'Académie des Beaux-Arts de Cracovie, l'enseignement du peintre polonais Joseph Pankiewicz, qui était lui-même un admirateur de Cézanne, de Renoir, des Nabis, et passait à Paris la plupart de ses moments de liberté. Il est alors âgé de dix-neuf ans et possède une maîtrise qui ne lui fait pas éprouver le besoin de poursuivre un apprentissage à l'Ecole des Beaux-Arts ou dans une académie de peinture.
L'influence de Cézanne est sensible dans ses premières réalisations parisiennes, qui structurent l'espace en n'en retenant que les lignes essentielles et restituent les formes dans la sobriété de leurs volumes. Il emprunte aux Nabis l'élimination radicale de la perspective qui «écrase» les objets sur la surface plane du tableau.
À Paris, Kisling se lie rapidement avec les artistes du Bateau-Lavoir, rencontre Modigliani avec lequel se noue une solide amitié, et est très tôt remarqué par Adolphe Basler qui devient son marchand. De 1912 à 1913, il effectue un long séjour à Céret où il retrouve Juan Gris, Picasso et Max Jacob. Ses paysages du Roussillon sont caractéristiques d'une interprétation très cézannienne de l'espace, qui synthétise les volumes en les réduisant à leur forme géométrique. Mais, contrairement à ses amis cubistes, il refuse de rompre avec le réel. Il mène cependant quelques expérimentations discrètes de déstructuration de l'espace et d'éclatement de la forme, que l'on peut observer dans un nombre limité de natures mortes et de portraits. Les oeuvres de cette période conservent en revanche une austérité chromatique caractéristique des cubistes, dont il va se libérer très rapidement. Car, malgré quelques dislocations de l'espace encore sensibles dans les paysages réalisés lors d'un voyage en Espagne en 1915, Kisling se refuse de choisir entre la ligne et la couleur et s'éloigne définitivement des théories cubistes dans la deuxième moitié des années dix.Kisling [texte imprimé] . - Bez-et-esparon : Etudes & Communication, 2008 . - 229 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 29 cm.
ISBN : 978-2-911722-54-7 : 42 €
Exposition du 14/06/2008 au 2/11/2008 au Musée de Lodève
Langues : Français (fre)
Catégories : Kisling, Moïse (1891-1953) -- Catalogues d'exposition Mots-clés : kisling art polonais peinture XXe siècle Index. décimale : 75.037 Transition entre l'expressionnisme et l'art abstrait Résumé : Extrait de l'introduction de Maïthé Vallès-Bled, Conservateur en chef du Musée de Lodève :
Méconnu aujourd'hui après avoir été de son vivant un des artistes les plus célèbres de l'Ecole de Paris, Kisling mérite à bien des égards de voir son oeuvre reconsidéré en ce qu'il eut de particulier. Dans sa préoccupation incessante de retour à la grande tradition de la peinture, on doit lui reconnaître d'avoir inventé une esthétique singulière qui, après avoir intégré les apports de la modernité, mêla l'observation des primitifs flamands et italiens, celle du classicisme d'Ingres - notamment de ses portraits les plus primitifs - à la naïveté du Douanier Rousseau, et joignit à l'épurement de la forme une palette riche dont l'éclat est soutenu par une maîtrise technique qui doit être soulignée.
Lorsque Kisling arrive à Paris en 1910, ses premières oeuvres sont imprégnées de l'influence française. Il a reçu, à l'Académie des Beaux-Arts de Cracovie, l'enseignement du peintre polonais Joseph Pankiewicz, qui était lui-même un admirateur de Cézanne, de Renoir, des Nabis, et passait à Paris la plupart de ses moments de liberté. Il est alors âgé de dix-neuf ans et possède une maîtrise qui ne lui fait pas éprouver le besoin de poursuivre un apprentissage à l'Ecole des Beaux-Arts ou dans une académie de peinture.
L'influence de Cézanne est sensible dans ses premières réalisations parisiennes, qui structurent l'espace en n'en retenant que les lignes essentielles et restituent les formes dans la sobriété de leurs volumes. Il emprunte aux Nabis l'élimination radicale de la perspective qui «écrase» les objets sur la surface plane du tableau.
À Paris, Kisling se lie rapidement avec les artistes du Bateau-Lavoir, rencontre Modigliani avec lequel se noue une solide amitié, et est très tôt remarqué par Adolphe Basler qui devient son marchand. De 1912 à 1913, il effectue un long séjour à Céret où il retrouve Juan Gris, Picasso et Max Jacob. Ses paysages du Roussillon sont caractéristiques d'une interprétation très cézannienne de l'espace, qui synthétise les volumes en les réduisant à leur forme géométrique. Mais, contrairement à ses amis cubistes, il refuse de rompre avec le réel. Il mène cependant quelques expérimentations discrètes de déstructuration de l'espace et d'éclatement de la forme, que l'on peut observer dans un nombre limité de natures mortes et de portraits. Les oeuvres de cette période conservent en revanche une austérité chromatique caractéristique des cubistes, dont il va se libérer très rapidement. Car, malgré quelques dislocations de l'espace encore sensibles dans les paysages réalisés lors d'un voyage en Espagne en 1915, Kisling se refuse de choisir entre la ligne et la couleur et s'éloigne définitivement des théories cubistes dans la deuxième moitié des années dix.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 410000108953 75.037 Livre documentaire Jardin perdu Adultes Document en bon état Disponible Matisse et Picasso / Yve-Alain BOIS
Titre : Matisse et Picasso Type de document : texte imprimé Auteurs : Yve-Alain BOIS (1952-....), Auteur Editeur : Paris : Flammarion Année de publication : 1999 Importance : 271 p. Présentation : ill. en coul.; couv. ill. en coul. Format : 29 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-08-012494-4 Prix : 53,94 € Note générale : Chronologie. - Index. - Bibliogr. Langues : Français (fre) Catégories : Matisse, Henri (1869-1954)
Picasso, Pablo (1881-1973)Mots-clés : MATISSE CUBISME PEINTURE PICASSO Index. décimale : 75.037 Transition entre l'expressionnisme et l'art abstrait Résumé : Tout à la fois rivaux et frères d'armes, Matisse et Picasso ont mené l'un des dialogues artistiques les plus riches de ce siècle. Dans Matisse et Picasso, Yve-Alain Bois retrace les évolutions croisées de ces deux géants de l'art moderne comme s'il s'agissait d'une partie d'échecs entre deux maîtres.
Si les débuts intenses de leur relation - de leur rencontre en 1906 jusqu'au départ de Matisse pour Nice en 1917 ont été maintes fois étudiés, l'échange qu'ils ont rétabli, et poursuivi, après plus de dix ans d'ignorance réciproque est en revanche très mal connu : c'est cette seconde manche qui fait l'objet principal du livre.
Après avoir brièvement rappelé l'origine du dialogue entre Matisse et Picasso, l'auteur plonge directement dans le contexte de leurs retrouvailles, le moment où, vers 1930, un Picasso taquin fait sortir Matisse de sa tanière et le pousse à réintégrer le ring de la modernité. Au milieu des années trente, leur relation tumultueuse se fait plus paisible, chacun des deux artistes s'attachant à mieux comprendre le langage de l'autre. La Seconde Guerre mondiale les éloigne, mais après ces quatre années de frustration, leur rivalité amicale atteint son apogée. Fasciné et stimulé par la production de Picasso au château Grimaldi à Antibes (1946), Matisse réalise son projet pour la Chapelle du Rosaire à Vence, auquel Picasso répondra à son tour par son Temple de la Paix à Vallauris.
Pourtant, le plus poignant tribut offert par Picasso à son ami est posthume: avec la série des Femmes d'Alger commencée quelques semaines après la mort de Matisse, et surtout avec les Atelier d « La Californie » (1955-1956) directement inspirés des toiles peintes par Matisse à Vence en 1946-1948, Picasso porte le deuil. Jamais il n'avait dit aussi franchement son admiration pour l'oeuvre de Matisse. Le temps du pastiche est loin : il s'agit de faire revivre par la peinture le partenaire disparu.
Matisse et Picasso n'est pas un livre d'histoire de l'art traditionnel. Cet ouvrage se lit comme un roman dont les protagonistes sont tout autant les artistes et leurs oeuvres que les relations changeantes qui les mettent en branle. En s'appuyant sur une enquête érudite dans les archives, Yve-Alain Bois nous offre un scénario inédit ponctué d'analyses visuelles et de juxtapositions formelles saisissantes, qui font de cet ouvrage une contribution majeure à l'étude de l'art de ce siècle.Matisse et Picasso [texte imprimé] / Yve-Alain BOIS (1952-....), Auteur . - Paris : Flammarion, 1999 . - 271 p. : ill. en coul.; couv. ill. en coul. ; 29 cm.
ISBN : 978-2-08-012494-4 : 53,94 €
Chronologie. - Index. - Bibliogr.
Langues : Français (fre)
Catégories : Matisse, Henri (1869-1954)
Picasso, Pablo (1881-1973)Mots-clés : MATISSE CUBISME PEINTURE PICASSO Index. décimale : 75.037 Transition entre l'expressionnisme et l'art abstrait Résumé : Tout à la fois rivaux et frères d'armes, Matisse et Picasso ont mené l'un des dialogues artistiques les plus riches de ce siècle. Dans Matisse et Picasso, Yve-Alain Bois retrace les évolutions croisées de ces deux géants de l'art moderne comme s'il s'agissait d'une partie d'échecs entre deux maîtres.
Si les débuts intenses de leur relation - de leur rencontre en 1906 jusqu'au départ de Matisse pour Nice en 1917 ont été maintes fois étudiés, l'échange qu'ils ont rétabli, et poursuivi, après plus de dix ans d'ignorance réciproque est en revanche très mal connu : c'est cette seconde manche qui fait l'objet principal du livre.
Après avoir brièvement rappelé l'origine du dialogue entre Matisse et Picasso, l'auteur plonge directement dans le contexte de leurs retrouvailles, le moment où, vers 1930, un Picasso taquin fait sortir Matisse de sa tanière et le pousse à réintégrer le ring de la modernité. Au milieu des années trente, leur relation tumultueuse se fait plus paisible, chacun des deux artistes s'attachant à mieux comprendre le langage de l'autre. La Seconde Guerre mondiale les éloigne, mais après ces quatre années de frustration, leur rivalité amicale atteint son apogée. Fasciné et stimulé par la production de Picasso au château Grimaldi à Antibes (1946), Matisse réalise son projet pour la Chapelle du Rosaire à Vence, auquel Picasso répondra à son tour par son Temple de la Paix à Vallauris.
Pourtant, le plus poignant tribut offert par Picasso à son ami est posthume: avec la série des Femmes d'Alger commencée quelques semaines après la mort de Matisse, et surtout avec les Atelier d « La Californie » (1955-1956) directement inspirés des toiles peintes par Matisse à Vence en 1946-1948, Picasso porte le deuil. Jamais il n'avait dit aussi franchement son admiration pour l'oeuvre de Matisse. Le temps du pastiche est loin : il s'agit de faire revivre par la peinture le partenaire disparu.
Matisse et Picasso n'est pas un livre d'histoire de l'art traditionnel. Cet ouvrage se lit comme un roman dont les protagonistes sont tout autant les artistes et leurs oeuvres que les relations changeantes qui les mettent en branle. En s'appuyant sur une enquête érudite dans les archives, Yve-Alain Bois nous offre un scénario inédit ponctué d'analyses visuelles et de juxtapositions formelles saisissantes, qui font de cet ouvrage une contribution majeure à l'étude de l'art de ce siècle.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 410000108952 75.037 Livre documentaire Jardin perdu Adultes Document en bon état Disponible