Titre : |
Tu te maries et moi j'aime |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Sarah née Sarah Cohen-Scali K. (1958-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : Rageot |
Année de publication : |
2005 |
Collection : |
Remake |
Importance : |
502 p. |
Présentation : |
couv. ill. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7002-3111-3 |
Prix : |
16.85 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
La plus belle histoire d'amour de Balzac, et sa version moderne par Sarah K. Tu te maries et moi j'aime. Laura à Charlène, Février 2001. " Il ne m'a jamais pris la main. Jamais. Est-ce que tu peux le croire ? Même si je sens, je sais, j'espère qu'il meurt d'envie de coucher avec moi, il ne me le dit pas. Du moins pas avec des mots. Seuls son regard, sa respiration et ses silences me le disent. La balle est dans mon camp. La décision me revient. " Mémoire de deux jeunes mariées. Louise de Macumer à Renée de L'Estorade, octobre 1825 : " Je règne par l'amour, tu règnes par le calcul et par le devoir. Je suis si haut que s'il y avait une chute je serais brisée en mille miettes. Enfin, je dois me taire, car j'ai honte de te peindre l'éclat, la richesse, les pimpantes joies d'un pareil printemps d'amour ". |
Tu te maries et moi j'aime [texte imprimé] / Sarah née Sarah Cohen-Scali K. (1958-....), Auteur . - Paris : Rageot, 2005 . - 502 p. : couv. ill.. - ( Remake) . ISBN : 978-2-7002-3111-3 : 16.85 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
La plus belle histoire d'amour de Balzac, et sa version moderne par Sarah K. Tu te maries et moi j'aime. Laura à Charlène, Février 2001. " Il ne m'a jamais pris la main. Jamais. Est-ce que tu peux le croire ? Même si je sens, je sais, j'espère qu'il meurt d'envie de coucher avec moi, il ne me le dit pas. Du moins pas avec des mots. Seuls son regard, sa respiration et ses silences me le disent. La balle est dans mon camp. La décision me revient. " Mémoire de deux jeunes mariées. Louise de Macumer à Renée de L'Estorade, octobre 1825 : " Je règne par l'amour, tu règnes par le calcul et par le devoir. Je suis si haut que s'il y avait une chute je serais brisée en mille miettes. Enfin, je dois me taire, car j'ai honte de te peindre l'éclat, la richesse, les pimpantes joies d'un pareil printemps d'amour ". |
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