Titre : |
Du côté d'Ostende : roman |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jacqueline (Belge) HARPMAN (1929-2012), Auteur belge |
Editeur : |
Paris : Grasset |
Année de publication : |
impr. 2006 |
Importance : |
208 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-246-69621-6 |
Prix : |
19.05 € |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
Résumé : |
Au crépuscule de sa vie, Henri Chaumont, qui a toujours su dissimuler un appétit pour les personnes de son sexe, considère tristement qu'il n'a pas assez vécu : " J'étais un jeune homme plein d'avenir, je suis un homme sans passé ; on se gaspille. " De toutes les mondanités où ce célibataire se disperse dans un Bruxelles intemporel - serait-ce aujourd'hui ou était-ce hier ? -, il est au moins une amitié, féminine, qui a résisté au temps, celle qui le liait à Emilienne Balthus. Au début du récit, Emilienne meurt. Elle laisse des carnets qu'Henri découvre et lit, voyageant mentalement au hasard de ses propres regrets. Ainsi se souvient-il aussi du suicide d'un adolescent qui pensait l'aimer sans espoir de retour... Un conte cruel, elliptique, élégamment immoral, où l'on se drape de gaieté à chaque deuil, une histoire brève et sans illusions comme Jacqueline Harpman sait si bien les raconter. |
Du côté d'Ostende : roman [texte imprimé] / Jacqueline (Belge) HARPMAN (1929-2012), Auteur belge . - Paris : Grasset, impr. 2006 . - 208 p. : couv. ill. en coul. ; 21 cm. ISBN : 978-2-246-69621-6 : 19.05 € Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840(493)-3 Roman belge de langue française |
Résumé : |
Au crépuscule de sa vie, Henri Chaumont, qui a toujours su dissimuler un appétit pour les personnes de son sexe, considère tristement qu'il n'a pas assez vécu : " J'étais un jeune homme plein d'avenir, je suis un homme sans passé ; on se gaspille. " De toutes les mondanités où ce célibataire se disperse dans un Bruxelles intemporel - serait-ce aujourd'hui ou était-ce hier ? -, il est au moins une amitié, féminine, qui a résisté au temps, celle qui le liait à Emilienne Balthus. Au début du récit, Emilienne meurt. Elle laisse des carnets qu'Henri découvre et lit, voyageant mentalement au hasard de ses propres regrets. Ainsi se souvient-il aussi du suicide d'un adolescent qui pensait l'aimer sans espoir de retour... Un conte cruel, elliptique, élégamment immoral, où l'on se drape de gaieté à chaque deuil, une histoire brève et sans illusions comme Jacqueline Harpman sait si bien les raconter. |
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