Titre : |
Comme les doigts de la main |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Olivier ADAM (1974-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : L'Ecole des loisirs |
Année de publication : |
2005 |
Collection : |
Médium |
Importance : |
125 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-211-07696-3 |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Chloé a une hanche qui se bloque à cause d'un petit bout d'os mort.
Antoine a un doigt retourné, plié en deux pendant un cours de tennis.
Les voilà qui partagent la même chambre d'hôpital, un soir d'hiver, avant leurs opérations respectives.
Leurs regards se croisent, s'attrapent, se reconnaissent.
Très vite, ils se découvrent un autre point commun. Ils sont tous deux orphelins de père, et un peu morts depuis, à l'intérieur.
Il neige sur le fleuve. La nuit est éclairée par des cracheurs de feu. Antoine a envie d'entraîner Chloé. Chloé a envie de se laisser entraîner par Antoine.
Ce qu'ils vont partager, cette nuit-là, c'est bien plus qu'une chambre d'hôpital, bien plus que des souvenirs de blessures, bien plus que la peur du lendemain. |
Comme les doigts de la main [texte imprimé] / Olivier ADAM (1974-....), Auteur . - Paris : L'Ecole des loisirs, 2005 . - 125 p.. - ( Médium) . ISSN : 978-2-211-07696-3 Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840-3 Roman de langue française |
Résumé : |
Chloé a une hanche qui se bloque à cause d'un petit bout d'os mort.
Antoine a un doigt retourné, plié en deux pendant un cours de tennis.
Les voilà qui partagent la même chambre d'hôpital, un soir d'hiver, avant leurs opérations respectives.
Leurs regards se croisent, s'attrapent, se reconnaissent.
Très vite, ils se découvrent un autre point commun. Ils sont tous deux orphelins de père, et un peu morts depuis, à l'intérieur.
Il neige sur le fleuve. La nuit est éclairée par des cracheurs de feu. Antoine a envie d'entraîner Chloé. Chloé a envie de se laisser entraîner par Antoine.
Ce qu'ils vont partager, cette nuit-là, c'est bien plus qu'une chambre d'hôpital, bien plus que des souvenirs de blessures, bien plus que la peur du lendemain. |
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